Son accointance avec la Chine et les hommes d'affaires chinois ne fait l’ombre d’aucun doute. Jean Ping est le candidat de la Chine. Ce métis chinois de père et Gabonais de mère, candidat à l’élection présidentielle du Gabon. A déjà montré sa préférence pour la terre de son père.
Sa campagne a été de faire en sorte que les Gabonais se méfie plus de leurs frères africains que de lui, qui vient de terres très lointains. Mais cela a été peine perdue. Du coup, il a rasé notamment les murs des hommes d’affaires chinois afin que ses derniers financent sa campagne. Ce n’est un secret pour personne au Gabon. Jean Ping jouit des grâces énormes de ses frères chinois à qui il promet de donner tous les marchés une fois élu. Les membres de son staff de campagne en sont conscients. C’est d’ailleurs certains investisseurs Chinois qui ont pesé dans la balance et participer activement au ralliement des deux autres opposants en sa faveur.
Convaincu qu’il ne peut battre Ali Bongo dans les urnes, il a monté, à l’aide de certains de ces petits camarades cette histoires grotesque d’adoption du président Ali Bongo. Même si nous suivons cette logique d’adoption, nous sommes à mesure de nous poser un certain nombre de questions qui naît sur ce que Jean Ping veut faire naître au sein du peuple Gabonais. Doit-on se méfier de notre frère parce qu’il n’est pas de la même ethnie, ou qu’il aurait un parent originaire d’un pays africain frère ? Dans ce cas doit-on se rapprocher d’un chinois ? doit-on confier les rênes du pouvoir à ce chinois qui veut nous gouverner contre nos intérêts ?
La réponse du peuple Gabonais est claire et sonne depuis le début de la campagne. Ils ne veulent pas voir débarquer la légion Chinoise sur leur terre. Ce serait vraiment une grande perte pour le peuple Gabonais. Une perte dont même les petits enfants de nos petits enfants ne sauraient nous pardonner. Car, cette légion-là, elle ne plaisante pas. Tous les pays sous le joug de l’impérialisme chinois en savent quelque chose. Même les chinois le savent, eux qui, privés de liberté n’échappent même pas à leur pays tant bien même qu’ils essaient de s’en éloigner.
Voter Ping à l’élection présidentielle, c’est faire du Gabon la première province chinoise africaine. Nos fils, nos petits-fils, nos arrières petits-fils, et ça ne s’arrête pas là, nous maudirons d’avoir commis une telle abomination. Et l’Afrique entière nous maudira. Nous ne devons jamais faire une chose pareille.
Voter Jean Ping c’est encore déplier le tapis rouge pour l’envahissement de nos terres par ces frères chinois. Voter Ping, c’est vendre le Gabon à l’impérialisme chinois et devenir la première colonie d’esclaves chinois en Afrique.
Le peuple Gabonais ne commettra jamais une telle abomination. Nos ancêtres ne sauraient nous pardonner et les vivants ne sauraient se donner, bras liés à des exploitants d’hommes.
Guy J.
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