mardi 13 septembre 2016

Gabon : Jean Ping ou la pratique de la terre brûlée


Pour qui se souvient des grands moments de guerre en Afrique, a sûrement en mémoire la technique de la terre brûlée. Celle qui consistait à tout brûler sur son passage. Alors que nous pensions que cette technique était longtemps derrière nous, le monde entier en général et particulièrement le Gabon en  a fait l'amère expérience en ce troisième millénaire. Et l’auteur n’est autre que le candidat malheureux de la dernière élection présidentielle. En effet, après avoir tenté en vain de mettre ses partisans dans les rues afin de revendiquer une victoire qu’il n’a jamais obtenue,  Jean Ping et ses partisans s’en sont violemment pris au symbole de l’état. La première victime fut une de taille.
Un symbole où s’exprime la voix du peuple. En effet, l’Assemblée nationale du Gabon à Libreville a été incendiée en début du mois d’août par des manifestants descendus dans la rue, répondant à un appel insurrectionnel   par l’un des candidats Malheureux en l’occurrence Jean Ping.  A y voir de près, ce symbole n’a pas été mis à feu par hasard. Située sur le prestigieux boulevard Triomphal, qui dessert de grandes institutions (siège de la télévision d’Etat Gabon Télévision, Sénat, Hôtel de Ville, Centre culturel français, ministère du Pétrole, ambassades de Chine, de Russie et du Liban...).  Cela montre bien que Ping et ses partisans étaient disposés à mettre le pays à feu et à sang ce jour-là, n’eut été la dextérité des forces de l’ordre présente.
Pourtant, cette institution n’a nullement pris part au scrutin et n’intervient nullement dans le processus électoral. Pourquoi alors avoir incendié cet édifice ?  Muet aux appels du président sortant et réélu à sa propre succession, Jean Ping a opté pour la violence avant de se ressaisir et emboîter le chemin de la sagesse. Alors la question qui circule sur toute les lèvres est la suivante « tout ça pour quoi ? Fallait-il incendié avant de suivre la voie légale et constitutionnelle ? Ping avait-il besoin de  compter des morts avant de recourir au conseil constitutionnel ? Seul lui et les quelques membres proches peuvent répondre à ces interrogations du citoyen lambda. Mais une chose est sûre, Ping comme nous le savons tous est un mauvais perdant. Son ambition était de mettre le pays dans un chaos afin d’empêcher les institutions légales  et impliquées dans les élections de prononcer le verdict des urnes et au conseil constitutionnel de se prononcer. Mal lui en a pris. Il a pensé qu’avec le soutien de ces amis de l’extérieur, il réussirait son coup d’état. Ce n’est un secret pour personne au Gabon que Ping a fait appel à de nombreux mercenaires tant parmi les pays européens que africains. Il a été mal conseillé ou du moins il a mal monté son coup.
Aucune personne censée ne peut incendier un bâtiment public  et venir ensuite se référer à d’autres institutions de la nation pour réclamer quoi que soit. En agissant ainsi, c’est une partie de sa politique que Ping a dévoilé si jamais il avait été élu par le peuple Gabonais. En effet l’incendie du parlement démontre que Ping avait bien l’intention de détruire ou de fouler au pied toutes les bonnes règles de gouvernance une fois au pouvoir. Pire, il s’apprêtait à détruire les fondements de la nation. Le choix du parlement n’est donc pas fortuit.
Heureusement pour le Gabon, les forces de sécurité s’étaient déployées à titre préventif dès mardi après-midi aux points stratégiques de la capitale à la veille de la proclamation des résultats officiels provisoires par la commission électorale. C’est pourquoi, dès l’annonce de la victoire d'Ali Bongo Ondimba face à l’opposant Jean Ping, des troubles ont éclaté sur les grandes artères entre les forces de l’ordre et des opposants.

Gabon : Pourquoi brûlé avant d’emprunter la voie légale

Les règles des élections sont simples. Mais elles ont besoin d’être rappelées à certains hommes politique en Afrique notamment  aux apprentis politique de la classe de Jean Ping  et de sa bande de pilleurs et casseurs. Car l’on ne peut se dire démocrate, fouler toutes ses règles au pied quand on perd une élection et venir par la suite distraire le peuple en allant saisir le conseil constitutionnel. Ce, après avoir mis le pays à feu et à sang.
En effet, tout électeur a le droit de demander l’annulation des opérations électorales de son bureau de vote. De même que tout candidat, tout parti politique ou tout groupement de partis politiques qui a présenté une liste de candidatures, a le droit de demander l’annulation, soit par lui-même, soit par son représentant, des opérations électorales de la circonscription où il a posé sa candidature. (Loi N° 10/98 du 10 juillet 1998).  Comment comprendre qu’un candidat de la taille de jean Ping puisse ignorer cette règle élémentaire portant sur le contentieux électorale ? C’est absurde. L’incendie du parlement cache bien un autre agenda de Ping.
Sinon, tous les candidats savent que selon l’article 121  du code électoral, la Cour constitutionnelle est seule compétente pour statuer sur les réclamations afférentes aux élections présidentielles, législatives sénatoriales et référendaires. Elle juge en premier et dernier ressort. La réclamation doit être déposée au greffe de la juridiction compétente concernée, sous peine d’irrecevabilité, au plus tard le quinzième jour suivant la publication des résultats annoncés par le Gouverneur pour les élections des collectivités locales, ou la proclamation des résultats par la Cour constitutionnelle en ce qui concerne les autres élections politiques. Toutefois, en cas de force majeur dûment justifié par la commission électorale locale, la juridiction compétente saisie peut relever le requérant de la forclusion.
Voilà qui est claire pour tous sauf pour ceux qui viennent aux élections avec un autre agenda. Celui de Jean Ping était clair. En cas d’échec, déstabiliser le pays. Pour y arriver, aucun moyen n’a été négligé. Mieux Ping a mis les bouchés doubles. D’abord avec des cybers activistes  et ensuite avec des militaires venus d’autres pays afin de créer la chienlit. Mais avant,  pour que les militaires entre en scène, il fallait créer le chaos.
C’est ainsi que Jean Ping a lancé ses partisans dans les rues au lendemain de la proclamation des résultats.  Ils avaient une mission bien claire. Incendier tous les bâtiments publics afin de semer le chaos. Une fois cet objectif atteint,  la branche militaire devrait profiter du désordre ainsi créé et entrer en action. Des treillis de l’armée régulière ayant été distribués à ces derniers  afin de semer la pagaille au sein des forces de défenses et de sécurités Gabonaise. Tout était bien ficeler avant les élections. Malheureusement,  ce plan a foiré et alors jean Ping s’est retrouvé face à la triste réalité.
Voici en réalité le vrai  plan qu’il avait pris des jours et des nuits à  monter. Ayant épuisé les cartes de cette forfaiture, il s’est résolu contre son gré à saisir le conseil constitutionnel. Mais derrière cette saisine se cache une autre démarche. Juste faire croire qu’il est légaliste et se donner du temps de desserrer la pression sur ces proches afin de  réviser  leur plan macabre visant à déstabiliser  le Gabon.

mardi 6 septembre 2016

COMMENT LE SYSTÈME PING A FONCTIONNÉ


Le  hacker ivoirien Yéo capturé par les services gabonais est passé à table.

Organisation de la cellule anti Ali Bongo

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- Mamadou Diané, ivoirien, conseiller spécial du président ivoirien
- Franck Ping, ivoire-gabonais, responsable finances en Côte d’Ivoire
- Jean François Ping, responsable financier Gabon
- Carl Mihindou, gabonais responsable logistique et technique
- Jean-Marc Zoé, ivoirien, chef de la coordination ivoiro-gabonaise
- Yeo Namogoh, ivoirien, chargé du recueil des renseignements électoraux
- Ange Bagui, ivoirien, informaticien, spécialiste de téléphonie mobile
– Igor, congolais, administrateur des comptes d’accès
- Gildas, ivoirien, chargé du Design
- Alain Jauriste, Pambou, gabonais correspondant technique

Rappels des faits :
Le 20 février 2016, réunion à Paris entre Jean-Marc Zoé, Jean François et Franck Ping pour le montage de l’opération anti Ali Bongo
D’Avril à Aout, des voyages entre Abidjan et Libreville pour des formations discrètes, des tests informatiques à partir de l’Hôtel Hisbiscus


La chaîne :

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Saisie des données par Yéo Namogoh depuis le territoire gabonais
Transmission des données par satellite vers le France
Traitement des données par Jean Marc Zoe depuis Abidjan
Jean-marc Zoe rendait compte au conseiller spécial du président ivoirien, Mamadou Diané

La faille du système
Yéo avoue que lors de la proclamation de victoire de Ping le 28 Août, ce dernier ne disposait que de 15 % des bureaux de vote, de plus sans confirmation avec les PV physiques

Le 1er septembre 2016, lors de son arrestation, Yeo affirme avoir entré les données de seulement  1500 sur plus de 2500

Conclusion :
Jean Ping s’est proclamé président sur la base de d’une partie seulement des bureaux de vote ou sur une partie des résultats

Urgent: Le nouveau complot des milices aux ordres de Jean Ping et Bertrand Zibi



Pour inviter les autorités françaises à faire une intervention militaire  comme prévu dans leurs différents scénario pour l'installer au pouvoir comme en Côte d' Ivoire, les milices de Ping sous le commandement de Zibi Bertrand s'apprêtent à frapper de nouveau.

Ainsi, après avoir donc incendié l'assemblée nationale, brûlé des domiciles privés, des mosquées et pillé des magasins ils envisagent s'attaquer aux écoles françaises, à l'institut français et tout autre intérêt français au Gabon .
Cette stratégie pouvant aller jusqu'au kidnapping de ressortissants français pour justifier l'intervention des Néo colonialistes dans notre pays.

Notre pays se retrouverait donc dans une situation désastreuse comme Benghazi en Lybie afin que le peuple se retrouve dans la misère et voit ses richesses exploitées  sous le prétexte de la reconstruction.

Merci de rester tous vigilants et de dénoncer aux forces de défense et de sécurité toute action suspecte.

Il nous faut défendre notre patrie contre les assauts des mendiants Pierre Péan, Robert Bourgi &Co de la "France à Fric".

lundi 5 septembre 2016

QUE VEUT LA FRANCE AU GABON ?




Qu'est-ce que j’entends? La France demande à ce que l'on publie les résultats du scrutin bureau de vote par bureau de vote, un recomptage des voix en quelque sorte. Elle s'est exprimée via son chef de la diplomatie Jean Marc Ayrault, autant dire que c'est sa position officielle, en cela, elle ne dit pas autre chose que ce que dit le ripou Xavier Noc, quand nous savons d'ailleurs que c'est son rapport tronqué, orienté qui a motivé cette déclaration de la France. Mais que pouvait-elle faire d'autre quand son envoyé sur le terrain lui fait remonter de fausses informations?
Les choses ne pourront aller plus loin, car la loi électorale gabonaise ne permet pas une publication par bureau de vote, c'est sans doute pour cela qu'elle a demandé que les recours institutionnels soient utilisés pour contester cette élection.




LA MISSION DE L’UNION EUROPÉENNE COMPROMISE



Ils ont commencé à mettre à exécution leur plan macabre, Jean-Ping et sa clique ont lâché leurs chiens sur le Gabon, pour casser du gabonais.
Ces pseudos démocrates qui n'acceptent pas le verdict des urnes ont actionné leurs relais diplomatiques pour cautionner la chienlit qu'ils sèment dans le pays.
L'un d'entre eux est Xavier Noc, chef de mission de l'union européenne pour la présidentielle, a été pris dès son arrivée au Gabon sous les ailes de Ping et affiliés, il était même jusqu'à très récemment établi chez l'un d'eux qui l'hébergeait dans sa résidence cossue de Libreville.
C'est de là qu'a été échafaudée toute cette stratégie macabre que nous voyons se déployer.
Ce chef de mission a reçu de l'argent pour discréditer la victoire de ABO, c'est lui qui est à l'origine de cette demande farfelue de recomptage des voix, c'est aussi lui qui a intrigué pour que des membres de l'opposition démissionnent de la CENAP.
Il est prêt à tout pour de l'argent, ses rapports ne sont pas impartiaux, au contraire ils sont volontairement tronqué parce que achetés, Xavier Noc est un vendu, il s'est vendu à la bande à Ping, il importe que nous ne laissions pas berner pour l'accompagner dans sa forfaiture.

MAUVAIS PERDANT



Grand est ma peine de voir, de constater que mes appréhensions quant à l'après scrutin présidentiel sont en train de se vérifier.
J'attirais l'attention du peuple gabonais sur la nature vile de l'attelage PING, N'ZOUMA et OYE MBA, je levais le voile sur la collusion entre Jean-Ping et certaines puissances la Chine pour ne pas la citer, je dénonçais les tractations occultes qui s'opéraient sur le dos de notre Gabon.
N'avais-je pas alerté la conscience publique de l'intention malveillante du candidat Jean-Ping de recourir à ses relations dans le monde diplomatique pour faire valider les funestes projets  qu'il nourrissait pour le Gabon au cas où il perdrait cette élection?
Les faits hélas viennent de me donner raison, comment un chef de mission d'une organisation internationale censé émettre un avis sur la tenue d'un scrutin peut-il élire domicile chez l'un des protagonistes de cette élection?
Xavier Noc puisque c'est de lui qu'il s'agit (chef de la mission d'observation de l'union européenne pour le scrutin du 27 Août au Gabon) était jusqu'à hier seulement 1er Septembre 2016 hébergé chez Chantal Myboto et Paul Marie Gondjout, qui est un des soutiens indéfectibles du candidat Jean-Ping.
Noc Xavier a reçu de ce dernier la coquette somme de 400.000 euros, afin de produire un rapport visant à jeter le discrédit sur les résultats de l'élection présidentielle, cette somme en plus de la promesse  de grimper dans les échelons de la diplomatie internationale.
Cet homme corrompu est prêt à tout pour accomplir sa mission finale qui est de faire gagner son poulain, Jean-Ping. Il n'en n'est pas à son premier forfait du genre, son implication est avérée dans de nombreux autres cas de corruption où cet analyste électoral monnaie ses rapports de mission d'observation.

LE COMPLOT DÉCOUVERT



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Les masques sont tombés, et le complot ourdi contre notre cher Gabon est en train de révéler tous ses metteurs en scène et ses acteurs les plus insoupçonnés, avec Jean Ping à la baguette.
Grande est notre déception de voir que ces grandes institutions que nous prenions pour modèle d'équité, d'impartialité et de justice dans la recherche et l'application de la démocratie sont gangrenés de l'intérieur par certains de leurs animateurs.
L'union européenne pour ne pas la citer puisque c'est d'elle qu'il s'agit nous a envoyé un représentant chef de mission afin d'observer la tenue du scrutin, l'homme Xavier Noc a induit en erreur tout l'appareil européen et avec lui tout un pan de la diplomatie internationale.
Cet individu carrent moralement, parce que pourri ou si vous préférez ripoux dans sa démarche a manqué d'impartialité, il s'est fait blanchir loger, il était hébergé par le couple Chantal Myboto et Paul Marie Gondjout, ce dernier, proche de Ping. Il est de notoriété publique que Paul Marie Gondjout est un proche des proches de Jean-Ping.
Monsieur Xavier a reçu la coquette somme de 400.000 euros afin de remettre en cause la crédibilité du scrutin, du vote des gabonais.
Cette somme n'est qu'une avance, en plus de la garantie d'un coup de piston dans sa carrière dans les instances internationales.

samedi 3 septembre 2016

Résultats des élections dans le nord de la CI en 2010, fief d'Alassane Ouattara alors que Jean Ping était président de l'UA

Jean Ping  président de l'UA en 2010 a approuvé ces résultats et a même jugé qu'il n'était pas nécessaire de recompter les voix.  

 


vendredi 2 septembre 2016

Les brebis galeuses de la NDI entretenus par Jean Ping et Mamadou Diané ex-conseiller du Président ivoirien




 


Jean Ping et son compère Mamadou Diane ex conseiller du chef de l'État de côte d'ivoire  entretiendraient des taupes au sein de l'auguste institution NDI  ?? (National democratic institute)  cet organe  fondé en 1983 fait la promotion de la démocratie ,renforce les capacités des institutions en place et fait la promotion du genre!  tout comme la NDE ( National  endowment for democracy) . Jean Ping bénéficierait - il de soutiens internationaux?  Une enquête diligentée par la justice américaine  est en cours afin de  faire toute la lumière ! Wait and see !

Ces observateurs de l'UE qui ont besoin d'être observés




Tout portait à croire qu'avec la forte présence  des observateurs internationaux  dont ceux de l'Union européenne la sérénité de la population serait garantie pendant cette élection ! Hélas la cupidité de Jean Ping et ses partisans  doublée de la volonté manifeste de Noc Xavier  (chef de la mission européenne) en homme corrompu ! Dont la volonté est d'apporter la déstabilisation dans ce pays de paix met aujourd'hui le Gabon dans une violence de trop!. Souvenez vous des discours guerriers de Jean Ping! " Nous ne laisserons personne nous voler notre victoire!" .Avant même la proclamation des résultats par les organes compétents ! Jean Ping se déclarait vainqueur ! Quel paradoxe !? En fin calculateur, son coup était déjà programmé sachant qu'il bénéficiait de soutien occultes notamment celui de Noc Xavier qui trouvait là un terrain fertile pour un enrichissement rapide! ( selon nos sources) ! Mais cette manœuvre d'un autre âge ne passera pas ! Comme un visionnaire ABO affirmait: voter Jean Ping c'est voter DTE (D =Destruction ; T=Trahison; E=Enterrement du Gabon) La cause est attendue ! Les gabonais comme un seul homme sauront  faire échec à cette machination !

La NDI perd sa crédibilité par la faute de Ping





La NDI ( National Democratic Institute)  se trouve éclaboussé par  le scandale  des écoutes téléphoniques  mises à  jour par les autorités gabonaises ! En effet cette structure dont la ligne de conduite est d'apporter son soutien aux institutions afin de renforcer la démocratie , promouvoir le genre, par son esprit non partisan , est secouée !car en son sein se trouvent  des brebis galeuses en contact direct avec l'ex conseiller du président  de la république de côte d'Ivoire Mr Mamadou Diane limogé au lendemain du scandale !
Des enquêtes sont en cours par la justice américaine !


La chienlit par le responsable de la mission de l'UE


Le président Ali Bongo Odimba par  souci de transparence et en démocrate a permis l'arrivée au Gabon de nombreux observateurs en l'occurrence ceux de la communauté européenne à leur tête Mr Noc Xavier! . Tout portait à croire que cette sérieuse institution de par sa fermeté et son impartialité  pèserait de tout son poids dans le processus électoral! . Mais au fur et à mesure de l'évolution de la campagne électorale nous verrons une collusion du couple Chantal Myboto et Paul Marie Gondjout ( naguère député du PDG), ami de Jean Ping se rapprocher de Mr Noc Xavier! ( chef de mission de l'UE).Comment interpréter ce rapprochement si ce n'était de favoriser le "chienlit" au Gabon au cas où les élections ne tournaient pas en faveur de Jean Ping? Voyez vous mêmes ! et analysez les événements en cours ! Nous interpellons Noc Xavier ! Nous ne sommes plus à l'époque colonial où la conscience des africains et celle de la communauté internationale pouvaient être manipulées,! Nos yeux sont ouverts.. Halte à cette imposture! Noc Xavier, dis à ton poulain Jean Ping de respecter les institutions républicaines ! Et qu'il accepte sa défaite !  en démocrate dont il se targue! .

Que fait Xavier NOC, (chef de la mission de l'UE) chez Chantal Myboto toute une nuit





Depuis le début de cette campagne électorale , au Gabon nous avons suivi attentivement les discours des deux principaux protagonistes : ABO et Jean Ping ! Nous avons note les dérives continuelles de Jean Ping !  Et celles de ses partisans ! Nous avons encore en mémoire les injures de Chantal Myboto à l'endroit de ABO lors de son passage à Moanda il y a une semaine. Nous avons noté avec effarement que Mr Noc Xavier chef de mission de l'UE n'a pas levé le ton en la matière qui s'imposait afin d'appeler au calme Jean Ping et ses partisans surexcités et sûrs de leur victoire! ! En effet nos sources  mettent en lumière! La présence de Noc Xavier chez  Chantal Myboto et Paul marie! Tout cela confirme la machination de Jean Ping soutenu par ce " colon " Noc Xavier  d'apporter la zizanie au Gabon ! Restons vigilants et défendons la république!.

mardi 30 août 2016

Scandale-Désinformation : Jean Ping & Mamadi Diané, ingérence dans le processus élect

Dérangeant ce que révèle ce jour le magazine Jeune Afrique concernant Jean Ping et son acolyte Ivoirien, Mamadi Diané, un conseiller du président ivoirien, Alassane Ouattara, qui a prêté main forte à Jean Ping pour manipuler l’opinion. Le lien entre les deux hommes vient d'être découvert et fait des remous à Libreville autant qu'à Abidjan.

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Il a d’abord introduit des hackers au Gabon pour diffuser de faux procès-verbaux et pirater des données gouvernementales. Yeo Siwifowa est en effet entré dans le pays avec son équipe peu avant le démarrage de la campagne électorale. Connu des services de renseignement ivoiriens, Sifiwoha est un surdoué d’informatique issu de l’école Pigier, à Abidjan.

Son acolyte Coulibaly Zié Abou s’est chargé des hébergements de l’équipe. Mais Mamadi Diané a également suggéré au principal adversaire d’ABO de provoquer la démission des membres de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP).

Depuis la conférence de presse tenue ce mardi après-midi, par Alain-Claude Billie By Nzé, le ministre gabonais de la Communication et porte-parole du candidat Ali Bongo Ondimba (ABO), qui a dénoncé l’ingérence de puissances étrangères et de certains pays africains dans le processus électoral gabonais.

Mamadi Diané a été démis de ses fonctions de conseiller spécial à la présidence. Selon un communiqué rendu public en fin de journée, le 30 août, « la présidence de la République ivoirienne condamne cet acte d’ingérence et rassure les autorités et le peuple gabonais qu’elle tient au strict respect de la souveraineté de la république gabonaise. »
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lundi 29 août 2016

Démission du Coordinateur de Jean PING dans le Haut Ogooué le 21 Août 2016


Gabon : quelle est le poids réel de l’électorat de la diaspora ?



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Ils étaient 8.385 à s’inscrire sur la liste électorale au niveau de la diaspora. Tout pays confondu.  Soit  0, 5 % de  de l’électorat Gabonais. Au finish, ils n’ont été que  4254 à effectuer le déplacement ce samedi 27 août pour participer au vote comptant pour l’élection du président de la république du Gabon pour un mandat de sept ans.
L’opposition qui semble jubiler car des résultats provisoire leur donne vainqueur dans cette diaspora doivent déchanter. Les voix de la diaspora ne sont pas significatives dans la balance électorale. Surtout que la moitié de cette population électorale n’a pas pris part au scrutin de ce samedi. Le nombre de suffrages exprimés pourrait alors ne pas atteindre 0,30 % du taux de suffrages exprimés sur l’ensemble des opérations de vote. Avec une population estimée à  1 802 728 habitants pour une population électorale de 670.000 votants, la diaspora ne pèse presque rien. Quand on sait par exemple que 18 localités au Gabon ont des ratios d’inscriptions compris entre 80 et 100%,  on se rend compte, que l’opposition est loin du compte.
Il convient de rappeler les dispositions des articles 33 du Code électoral gabonais et 52 de la loi 7/96 portant dispositions communes à toutes les élections lesquelles précisent que l’inscription sur les listes électorales est réservée aux citoyens gabonais ayant atteint leur majorité et résidant depuis douze mois au moins dans la circonscription ou y possédant des intérêts économiques notoirement connus ou des liens familiaux régulièrement entretenus.
Après avoir longtemps été contesté par l’opposition gabonaise, le fichier électoral national a fait l’objet d’une refonte menée à partir de décembre 2011 par la société française Gemalto retenue suite à un appel d’offre. “Les travaux de Gemalto ont débouché sur la création d’un programme dénommé IBOGA (Identification biométrique officielle au Gabon) lequel était censé servir entre autre à la fiabilisation de la liste électorale nationale.
On se souvient à cet effet que trois jours avant la présidentielle du samedi 27 août, le président de la Plate-forme nationale de la société civile gabonaise, Georges Bruno Ngoussi, est venu à Paris rencontrer la diaspora gabonaise. Ayant pris des responsabilités importantes dans le suivi du processus électoral, le Pasteur Ngoussi a pu quitter Libreville 24 heures, pour venir montrer à la diaspora l’importance d’une unité autour de l’alliance de l’opposition constituée depuis la nomination d’un candidat unique.
Mais, tout ce bruit tant à Paris que dans d’autres pays n’a pas apporté le résultat escompté.  Sur les quelques 4254 votants de la diaspora, moins de 3000 ont accordé leur scrutin au candidat Jean Ping.  Son avance à ce niveau est donc très infime  et ne saurait faire basculer le scrutin du 27 août. Pas de quoi rassurer Jean Ping et ses partisans qui ont préféré  se lancer dans les rumeurs et les mensonges dès la fermeture des bureaux de vote le samedi. Heureusement que le fichier électoral est disponible et consultable afin que chaque candidat et électeurs puissent s’en imprégner et savoir le poids électoral de sa circonscription. Une situation inconfortable pour l’opposition à court de preuve pour distiller ses rumeurs.
Frejus P.

Jean Ping, un danger pour son pays


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Ce n’est pas surprenant. Jean Ping confirme ce que l’on pense de lui dans les milieux policés. S’autoproclamant président élu du Gabon, suite à l’élection tenu samedi dernier, Jean Ping foule au pied les règles élémentaires de la démocratie.
Malgré son passage à la tête de la grande Commission de l’Union africaine, il fait une telle sortie. C’est une honte pour l’Afrique. C’est la preuve par neuf que les Gabonais ne doivent pas confier le destin de leur pays à un tel homme. Comme il n’a cessé de le dire qu’il est majoritaire, pourquoi n’a-t-il pas laissé la Commission électorale publier les résultats ? Jean Ping fait comme l’ex- chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo. Et cela est su de tous  qu’il veut embraser le Gabon.  Déjà dès son annonce, certains de ses partisans ont pris d’assaut  les rue de Libreville scandant la victoire de leur chef de fil. Une attitude qui a semé la crainte de voir se réunir les ingrédients d’une probable crise post-électorale. D’ailleurs ses partisans sur les réseaux sociaux s’en donnent à cœur joie depuis le dimanche. N’hésitant pas à appeler au soulèvement au cas où  la commission électorale les proclamait vaincu de l’élection du 27 août. Mais Jean Ping n’est pas à son premier forfait. On se souvient qu’il avait difficilement avalé sa défaite face à Dlamini lors de l’élection à la tête de la présidence de la commission de l’union Africaine.
Il prépare le peuple Gabonais à la violence en faisant croire que la France ou la communauté internationale va imposer un candidat. Jean Ping est un danger pour son pays. Il représente un risque pour ce pays paisible depuis l’indépendance.
Il n’en n’est rien car au regard de l’organisation et du processus électorale, Ali Bongo confirme son attitude républicain et démocrate. Le président sortant est légaliste et attend les résultats officiels. Ali Bongo avait annoncé que s’il perdait il n’aurait pas de soucis à féliciter le nouvel élu. Mais avant cela, il faut respecter les étapes du processus électoral. Outre cela, le Gabon et son président viennent de relever le défi d’une organisation parfaite sans incidents majeurs qui puissent entacher à la régularité de l’élection.  En attendant de connaître les résultats officiels, des informations crédibles annoncent que sur 9 provinces, Ali Bongo est en tête dans 5 localités. Une avance qui se creuse au fur et à mesure  que les résultats sont dépouillés et centralisés.  Pour l’heure, après avoir réussi son pari d’organiser une élection apaisée et transparente, Ali Bongo doit faire face au nerf de ses partisans afin que ceux-ci ne  répondent pas aux provocations incessante du camp de Jean Ping.
Même si  la police est déployée et que dans l’ensemble les Gabonais sont soit à leur lieu de travail et d’autres à la maison,  il est bon  que l’armée reste vigilante  afin de maîtriser à temps tout débordement qui pourrait dégénérer.  Déjà, nous apprenons que des tractations sont en cours depuis la fin du scrutin afin que tous les candidats jouent la carte de l’apaisement et appellent leurs partisans et militants à préserver la paix sociale. Il est du devoir de chacun de prendre le dessus sur la violence et de ne pas laisser les extrémistes de tout bord mettre le feu aux poudres.
Henri L.

Jean Ping se dresse contre le code électoral


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A quoi et contre qui joue le candidat Jean Ping ? Une question sur toutes les lèvres du peuple Gabonais et des observateurs de la vie politique Gabonaise. La question n’est pas fortuite après ce que l’on a pu observer ce dimanche 28  août, au lendemain du scrutin présidentiel. Réunissant ses partisans et des journalistes dans son quartier général, il a annoncé sa victoire contre toute attente, portants ainsi un coup au climat de paix  qui régnait au lendemain de ce scrutin, jugé  démocratique et transparent.
En effet, dès cette annonce, des partisans de Jean Ping se sont  rués dans les rues de la capital,  chantant les louanges de celui qui venait, il y’a quelques instants s’auto proclamé vainqueur des élections du 28 mai. Une situation qui a mis le pays sous haute tension et préparer les esprits à un affrontement et à un refus des résultats issue des urnes  et proclamé par le ministère de l’intérieur  tel que le prévoit le code électoral. Réagissant à cette sortie dont le Gabon aurait pu faire l’économie, les étonnements et la stupéfaction est d’abord venu de l’extérieur.  Les premiers et les plus nombreux  sont les pays comme la Côte d’Ivoire qui ont encore en mémoire les affres de la crise postélectorale dont ils portent encore les stigmates.
« Ah ces intellectuels qui pourrissent la vie de leurs frères africains! Ces Jean Ping qui pullulent sur le continent. Ces intellectuels qui retardent le continent. Et pourtant, ils ont tous reçu de leur pays, de l'Afrique. Comment comprendre qu'avant la proclamation des résultats de l'élection présidentielle prévus pour ce mardi, au Gabon, ce vieillard convoque la presse et annonce sa victoire? L'opposant tient-il à installer la chienlit dans son pays? Il importe de le souligner, nombre de nos intellectuels font honte au continent. Non seulement ils n'apportent rien au développement de leur pays, mais avides du pouvoir, ils contribuent à fragiliser la paix sociale. Il est temps pour la jeunesse africaine de ne pas suivre ces personnes, qui pour s'assurer une retraite dorée, sacrifient les enfants des autres sur l'autel de leur ambition personnelle» a lancé sur sa page un internaute ivoirien. Un post soutenu par plusieurs internautes qui n’ont de cesse interpellé le Gabonais afin de ne pas commettre les mêmes erreurs qui ont entraîné officiellement 3000 morts et des centaines de milliers d’exilés en Côte d’Ivoire.
« JEAN PING viole la loi et crée la zizanie » selon un autre internaute qui a repris des pans important de sa déclaration. «  Je suis l'élu.  Au moment où je m'exprime devant vous, les tendances générales nous donnent vainqueurs »  ajoutant que l’ex président de la commission de l’union Africaine aurait dû attendre les résultats officiels avant de s’exprimer. Le faisant, il ouvre la porte à plusieurs incertitudes et crée la psychose au sein de la population. Une psychose gonflée de plus en plus par des rumeurs que ses partisans distillent tant dans les grandes villes qu’en campagne.
«Quand on a perdu les élections et qu’on veut apprêter les esprits à ne pas accepter sa défaite, on se presse  de se déclarer vainqueur » explique un observateur électoral sous le couvert de l’anonymat. Selon ce dernier, l’opinion nationale Gabonaise et la communauté internationale doit tenir pour responsable Jean Ping en cas de dégradation de la situation sécuritaire. «  Il vient de jeter les bases d’une crise postélectorale tout en mettant à mal tout le système électoral et en jetant l’opprobre sur ses qualités d’ex président de la commission de l’Union Africaine » ajoute-t-il  avant de préciser que l’Afrique encore moins des petits pays comme le Gabon ne mérite pas ce genre d’hommes politiques. Pour ce dernier, il faut tirer les leçons des élections Ivoiriennes, Sénégalaise, Burkinabé, Togolaise, Béninoise et ghanéenne qui se sont déroulé récemment.

Patrick K.

Élection apaisée et transparente, victoire d’Ali Bongo


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L’un des défis majeur de cette élection du 27 août qui a déchaîné tant de passion, était la sécurité et la transparence. Président sortant et candidat à sa succession, Ali Bongo en avait fait son cheval de bataille afin que le Gabon soit cité parmi les pays les plus démocratiques en Afrique. Un pays où l’on peut organiser des élections sans « heurts, ni fraude ».  La  journée du samedi c’est passée dans le calme, dans la sérénité et dans la quiétude. Pourtant, cette élection aura mobilisé un peu plus de 1000 observateurs indépendants qui ont commencé a donné leur satisfaction.
C’est le cas par exemple de Guy René Mombo Lembomba, président de l’Association jeune sans frontières (AJSF), une de ces organisations ayant déployé en partenariat avec d’autres ONG plus 300 observateurs sur le terrain  à travers le territoire national. Leur verdict est sans appel et réconforte le peuple Gabonais. Ils jugent crédible et transparente l'élection présidentielle du 27 août  nonobstant quelques dysfonctionnement constatés. Quoi de plus normale, quand on sait que la perfection n’est pas de ce monde. « Les dysfonctionnements constatés n’ont pas entamé la crédibilité du scrutin. En conséquence que l’élection du 27 août 2016 fût juste, libre et transparente »  a indiqué   Guy René Mombo Lembomba, chef de mission d’observation de cette coalition des ONG gabonaises.
C’est pourquoi, l’AJSF  a tenu à se féliciter et à féliciter le peuple le peuple Gabonais  de même que les  organisateurs du scrutin  pour le déroulement de l’élection dans le calme et la sérénité sur toute l’étendue du territoire durant toute la journée du vote. Bien entendu, cette mission a relevé quelques incidents qui auraient pu tourner au pugilat. En effet,  selon Guy René Mombo Lembomba des incidents  à certains endroits  peuvent être qualifiés par des atteintes à l’intégrité physique de certains citoyens accusés, sans preuve tangibles  de certaines infractions  telles que des tentatives de double vote, ou de vote illégal pour des raisons liées à leurs nationalités d’origines étrangères. Ces observateurs ont aussi noté  la persistance du phénomène d’ouverture tardive inexpliquée de plusieurs bureaux de vote et la sérieuse confusion créée dans plusieurs centres de vote par les cartes d’identité donnant droit au vote.
Mais dans l’ensemble, tous ces incidents n’entache en rien la crédibilité du scrutin ont-ils reconnu. Il appartient désormais aux différents candidats de respecter le code électoral  et de maintenir leur partisans afin de garder le calme qui prévaut. C’est à juste titre que donnant à nouveau le bel exemple et le bon ton, le président-candidat, Ali Bongo a indiqué attendre « dans le calme et la sérénité le verdict des urnes. » malheureusement, son challenger Jean Ping n’a pas été habité par cette sagesse et a  décidé de jouer les troubles fêtes  mettant ainsi gravement à mal la paix sociale et quiétude des Gabonais qui, après avoir voté étaient tournés vers le ministère de l’intérieur, seul  habilité à donner les résultats issus des urnes.  Et ceux, malgré les précisions du ministre de l’Intérieur  sur le fonctionnement du processus électoral, «une infographie officielle détaillant point par point les différentes étapes de ce vote uninominal à un tour. Les mesures technologiques et procédurales mises en œuvre lors de cette élection sont inédites et sans précédent en Afrique, tous les éléments sont réunis en vue de garantir un scrutin transparent et impartial.» a affirmé le ministre  Pacôme Moubelet Boubeya. Malheureusement, cet appel semble ne pas avoir été entendu par Jean Ping et ses partisans. Il est temps que la sagesse les habité avant qu’il ne soit trop tard.

Roland F.

Peut-on parler de fraude avec 1000 observateurs ?


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Les bureaux de vote à peine fermés, que les observateurs  ont commencé à donner les résultats de leurs travaux. "Le vote s'est déroulé dans le calme. Aucun incident majeur n'a été signalé", s'est félicité le secrétaire général du ministère, Lambert Noël Mata en début de soirée du samedi 28 août. Les quelques  628.124 électeurs, sur une population totale de 1,8 million d'habitants ont répondu dans le calme et la discipline telle que l’a souhaité Ali Bongo, qui a mis à la disposition de de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), tous les moyens humains et matériels nécessaire afin d’y parvenir.
Ainsi,  l’Union africaine et  l’Union européenne sont formelles sur leurs observations. Les élections se sont bien déroulées dans l’ensemble même si l’on a pu observer quelques retards et des échauffourées par endroit, cela ne remet nullement en cause la sincérité et la transparence du vote. Ce 27 août 2016, c’est donc une véritable machine électorale jamais vue qui  s’est mise en marche au Gabon. Mettant leur conclusions en rapport avec les  représentations diplomatiques du Gabon, notamment la France, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et ceux qui sont dans les provinces, ils ont affirmé que tout s’est bien passé passe bien.»
Ces structures de même que d’autres  avaient  o déployé des observateurs dans la quasi-totalité des centres de vote du Gabon tout en observant un engouement de la part des populations. Ce qui est un très bon signe pour le Gabon et  pour les Gabonais.
La sécurité déployée a ainsi permis au Gabonais  de se déplacer  en grand nombre mais sans se bousculer devant les urnes même avec l’ouverture tardive de certains bureaux de vote. Un retard qui n’a rien entaché cette mobilisation car les Gabonais sont conscients de l’enjeu. Depuis  le lancement de la campagne électorale, les Gabonais avaient envie de s’exprimer dans les urnes.  Ils ont ainsi fait des files  d’attente. Même  si certains montraient  des signes de fatigue, ils sont restés déterminés.
C’est pourquoi, cette mobilisation ne doit pas être mise à mal par  certains politiciens qui, en perte de vitesse sont aussitôt devenu fébrile. C’est le cas de Jean Ping qui depuis la fin des bureaux de vote a lancé ses partisans dans l’intox  via Facebook et Twitter. Un comportement indigne d’un ancien président de la commission de l’Union  Africaine qui pourtant maîtrise bien le calendrier et la procédure électorale. Mais, comme le prédisait certains observateurs de la vie politique du Gabon, Jean Ping « n’aime pas la défaite et les risque d’embrassements du Gabon risque de  venir de lui. » est-il es train de  donner raison à ces derniers ?  En tout cas ça dernières sortie et celle de ses partisans est de nature  à ne pas prouver le contraire de ce qui a été longtemps dit.
A contrario, le favori des élections, après avoir gagné le pari d’organiser des élections ouvertes, libres et transparentes a décidé de respecter la  commission électorale et d’attendre patiemment le verdict. Une véritable attitude républicaine empreint de sagesse  et digne de l’homme d’état qu’il est. Jean Ping gagnerait à suivre cet exemple afin de garantir et de préserver la paix sociale  au Gabon, longtemps resté dans la paix.
Paul M.

La mauvaise influence des réseaux sociaux sur le climat de paix au Gabon

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Dès la fermeture des bureaux de vote, les populations qui voulaient soustraire un tant soit peu des programmes de télévisions ont été littéralement happés par les réseaux sociaux. L’on a ainsi assisté à un matraquage tous azimuts  faisant planer des doutes sur les lendemains paisibles au Gabon. Chacun allant de son commentaire, véhiculant mensonges et rumeurs à bon escients.
Sur les réseaux sociaux, Facebook est pris d’assaut et on y poste régulièrement des tendances émanant des différents bureaux de vote disséminés à travers le pays, mais aussi ceux de l’étranger. Ces informations sont également relayées via les appels, SMS, et autres applications de messagerie. Une situation qui ajoutait encore plus à la confusion et à la peur des populations, tant ces résultats divergeaient d’un internaute à un autre. Des tendances  qui nourrissent encore ce matin les espoirs de victoire de militants et partisans de certains candidats ; et dont les porte-paroles et états-majors tirent la couverture de leur côté respectif.
Cependant, au cours de la journée du dimanche, une baisse significative du débit de navigation a été constatée. Il n’en fallait pas plus pour que la toile s’enflamme et véhicule des informations selon lesquelles, l’accès aux réseaux sociaux a été restreint. Une situation qui a obligé le directeur général de Gabon Telecom, Abderrahim Koumaa a présenté dimanche en fin de soirée dans un communiqué de presse les excuses à ses centaines de mille d’abonnés, privés pendant plus d’une heure de l’internet. « Gabon Telecom informe son aimable clientèle, qu’un incident technique a causé une interruption involontaire de ses services internet pendant 45 minutes en début de soirée, ce dimanche 28 août 2016. Tout en présentant ses excuses pour les désagréments causés à sa clientèle, Gabon Télécom assure tout mettre en œuvre pour garantir la bonne continuité de ses services internet », a-t-il soutenu dans ce communiqué.
Depuis lors tout semble rentré dans l’ordre et les partisans de Facebook tant au sein de la diaspora qu’au niveau de la population s’en donne à cœur joie. Reprenant ainsi les intoxications de tout genre et parfois entraînant des insultes entre partisans ou entre les différents camps. Une situation qui crée une atmosphère de méfiance  de chaque Gabonais vis-à-vis de l’autre qui n’est pas du même bord que lui. On le sait, les réseaux sociaux jouent d’important rôle dans le processus démocratique mais leur usage abusif surtout en des périodes sensibles comme la période électorale et post-électoral peut à tout moment dégénérer et être fatal pour la paix et la cohésion sociale.
En attendant les résultats officiels de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) chacun y va pour l’instant de son commentaire même les plus inimaginables.  Pourtant, la Cenap  a officiellement dit être la seule habilitée à donner le nom du vainqueur du scrutin présidentiel du 27 août dernier, qui devrait intervenir  ce mardi autour de 17 h .Il y’a lieu de demander aux internautes et aux populations de ne pas tenir compte tendances et autres résultats véhiculés via les réseaux sociaux.