vendredi 26 août 2016

CHRONIQUE POUR UN MAL CHRONIQUE


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Ma chronique de ce jour se veut interrogative par le recours à  une métaphore, cette structuration grammaticale pour résumer, pour décrire la perplexité dans laquelle se trouve bon nombre de gabonais.
A ceux-là nous pouvions leur concéder ce sentiment empreint de doutes, mais depuis le lever de rideaux (dû à la présidentielle) s'est étiolé pour laisser place à la certitude.
Ange ou démon? Blanc ou noir? Messie ou bourreau? Agneau ou Loup?  Dans quelle catégorie classeriez-vous Jean-Ping? Celui que l'alliance d'opposants veut nous présenter comme le sauveur du Gabon (comme si les autres l'avaient tué).

A cette question je réponds tout de suite que l'homme n'en est rien, il se range plutôt dans la catégorie des ''Vampires''. Le candidat Ping se présente aux élections dans une robe de vierge effarouchée comme s'il était apparu ex-nihilo dans la politique gabonaise, ce qui est faux quand l'on sait qu'il a été longtemps aux affaires pendant le règne de Bongo père, alors quand il critique le PDG, ces critiques sont valables pour lui.
Ping n'est pas un démocrate, c'est plutôt un kleptomane dont toute la famille est mise à contribution pour détourner les fonds publics du pays (notamment avec son fils Franck Ping, son père Wang) pour les planquer à l'extérieur dans de nombreux placements et biens immobiliers qu'il prend soin d'enregistrer sous d'autres noms.
Michel Y.

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