jeudi 25 août 2016

Gabon : Ali Bongo, président et intègre


Ali bongo et ses rivaux.jpg
S’il y a une seule justification ou une motivation à la candidature de Jean Ping, il ne faut pas la chercher loin. Cette candidature de Ping est le résultat de l’intégrité du président Ali Bongo.
En effet, en homme d’Etat et surtout en vue de mettre de l'ordre dans le laisser aller dans lequel certains proches du pouvoir de son père s’étaient installés, d’une part parce que l’âge et les maladies pesaient sur le feu président Omar Bongo, et d’autre part parce que le régime était infiltré d’individus n’ayant aucun sens de l’intérêt général, le président Ali Bongo a décidé de mettre de l’ordre de relancer un nouveau Gabon plus prospère.
Il s’est alors désengagé de toute pratique douteuse dans lesquelles trempaient tous ces « politicards » qui n’ont aucun sens du devoir et qui pillent le pays sans vergogne. Dans cet élan, les malhonnêtes ont donc laissé beaucoup plume à commencer par celui qui se présente comme l’alternative.
Incapable de s’adapter à la bonne gouvernance, à la démocratie véritable, ils ont un en un fuient pour se retrouver de l’autre ne faire que gueuler. A la vérité, aucun d’entre ne compte ni ne souhaite gagné. Car il incapable de diriger. Ils cherchent une seule chose, mettre des bâtons dans les roues du président, semer le trouble dans le pays et empêcher le développement. Car le développement signifierait la perte de privilège pour eux.
Or, en parfait homme d’Etat, le bilan du président parle pour lui. L’industrialisation du pays est en marche et le plan « Gabon émergent » est plan révolutionnaire. La mise du plan est déjà en cours des projets pharaoniques.
Pour ne parler ici que de l’économie et des infrastructures, le Gabon  a fait un pas de géant. En effet, Jusqu’en 2009, le Gabon développe une économie de rente basée sur l’exploitation et l’exportation des matières premières. Grâce à la politique de diversification de notre économie, le Gabon est passé d’une économie de rente à une économie de transformation et diversifiée.
Cette transformation a permis de passer d’une croissance moyenne de 1% entre 2005 et 2009 à une croissance moyenne de 5,5% entre  2009 et 2015, a-t-il expliqué. La transformation de l’économie a été matérialisée, selon lui par l’ouverture des usines de transformation du manganèse à Moanda au sud-est du pays, la création de plusieurs unités de transformation de bois et le début des activités dans la zone économique spéciale de Nkok, dans la banlieue de Libreville.
Au cours de son mandat, ce sont 1 572 km de routes bitumées contre 900 km de l’indépendance en 1960 jusqu’en 2009. L’ambition, est de doter le Gabon de 2 115 km de routes d’ici 2020. Plus de 4 000 milliards de FCFA dans la construction des routes durant ce septennat.
Roger P.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire