Union du peuple Gabonais : UPG Loyalistes

mardi 30 août 2016

Scandale-Désinformation : Jean Ping & Mamadi Diané, ingérence dans le processus élect

Dérangeant ce que révèle ce jour le magazine Jeune Afrique concernant Jean Ping et son acolyte Ivoirien, Mamadi Diané, un conseiller du président ivoirien, Alassane Ouattara, qui a prêté main forte à Jean Ping pour manipuler l’opinion. Le lien entre les deux hommes vient d'être découvert et fait des remous à Libreville autant qu'à Abidjan.

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Il a d’abord introduit des hackers au Gabon pour diffuser de faux procès-verbaux et pirater des données gouvernementales. Yeo Siwifowa est en effet entré dans le pays avec son équipe peu avant le démarrage de la campagne électorale. Connu des services de renseignement ivoiriens, Sifiwoha est un surdoué d’informatique issu de l’école Pigier, à Abidjan.

Son acolyte Coulibaly Zié Abou s’est chargé des hébergements de l’équipe. Mais Mamadi Diané a également suggéré au principal adversaire d’ABO de provoquer la démission des membres de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP).

Depuis la conférence de presse tenue ce mardi après-midi, par Alain-Claude Billie By Nzé, le ministre gabonais de la Communication et porte-parole du candidat Ali Bongo Ondimba (ABO), qui a dénoncé l’ingérence de puissances étrangères et de certains pays africains dans le processus électoral gabonais.

Mamadi Diané a été démis de ses fonctions de conseiller spécial à la présidence. Selon un communiqué rendu public en fin de journée, le 30 août, « la présidence de la République ivoirienne condamne cet acte d’ingérence et rassure les autorités et le peuple gabonais qu’elle tient au strict respect de la souveraineté de la république gabonaise. »
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lundi 29 août 2016

Démission du Coordinateur de Jean PING dans le Haut Ogooué le 21 Août 2016


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Gabon : quelle est le poids réel de l’électorat de la diaspora ?



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Ils étaient 8.385 à s’inscrire sur la liste électorale au niveau de la diaspora. Tout pays confondu.  Soit  0, 5 % de  de l’électorat Gabonais. Au finish, ils n’ont été que  4254 à effectuer le déplacement ce samedi 27 août pour participer au vote comptant pour l’élection du président de la république du Gabon pour un mandat de sept ans.
L’opposition qui semble jubiler car des résultats provisoire leur donne vainqueur dans cette diaspora doivent déchanter. Les voix de la diaspora ne sont pas significatives dans la balance électorale. Surtout que la moitié de cette population électorale n’a pas pris part au scrutin de ce samedi. Le nombre de suffrages exprimés pourrait alors ne pas atteindre 0,30 % du taux de suffrages exprimés sur l’ensemble des opérations de vote. Avec une population estimée à  1 802 728 habitants pour une population électorale de 670.000 votants, la diaspora ne pèse presque rien. Quand on sait par exemple que 18 localités au Gabon ont des ratios d’inscriptions compris entre 80 et 100%,  on se rend compte, que l’opposition est loin du compte.
Il convient de rappeler les dispositions des articles 33 du Code électoral gabonais et 52 de la loi 7/96 portant dispositions communes à toutes les élections lesquelles précisent que l’inscription sur les listes électorales est réservée aux citoyens gabonais ayant atteint leur majorité et résidant depuis douze mois au moins dans la circonscription ou y possédant des intérêts économiques notoirement connus ou des liens familiaux régulièrement entretenus.
Après avoir longtemps été contesté par l’opposition gabonaise, le fichier électoral national a fait l’objet d’une refonte menée à partir de décembre 2011 par la société française Gemalto retenue suite à un appel d’offre. “Les travaux de Gemalto ont débouché sur la création d’un programme dénommé IBOGA (Identification biométrique officielle au Gabon) lequel était censé servir entre autre à la fiabilisation de la liste électorale nationale.
On se souvient à cet effet que trois jours avant la présidentielle du samedi 27 août, le président de la Plate-forme nationale de la société civile gabonaise, Georges Bruno Ngoussi, est venu à Paris rencontrer la diaspora gabonaise. Ayant pris des responsabilités importantes dans le suivi du processus électoral, le Pasteur Ngoussi a pu quitter Libreville 24 heures, pour venir montrer à la diaspora l’importance d’une unité autour de l’alliance de l’opposition constituée depuis la nomination d’un candidat unique.
Mais, tout ce bruit tant à Paris que dans d’autres pays n’a pas apporté le résultat escompté.  Sur les quelques 4254 votants de la diaspora, moins de 3000 ont accordé leur scrutin au candidat Jean Ping.  Son avance à ce niveau est donc très infime  et ne saurait faire basculer le scrutin du 27 août. Pas de quoi rassurer Jean Ping et ses partisans qui ont préféré  se lancer dans les rumeurs et les mensonges dès la fermeture des bureaux de vote le samedi. Heureusement que le fichier électoral est disponible et consultable afin que chaque candidat et électeurs puissent s’en imprégner et savoir le poids électoral de sa circonscription. Une situation inconfortable pour l’opposition à court de preuve pour distiller ses rumeurs.
Frejus P.
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Jean Ping, un danger pour son pays


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Ce n’est pas surprenant. Jean Ping confirme ce que l’on pense de lui dans les milieux policés. S’autoproclamant président élu du Gabon, suite à l’élection tenu samedi dernier, Jean Ping foule au pied les règles élémentaires de la démocratie.
Malgré son passage à la tête de la grande Commission de l’Union africaine, il fait une telle sortie. C’est une honte pour l’Afrique. C’est la preuve par neuf que les Gabonais ne doivent pas confier le destin de leur pays à un tel homme. Comme il n’a cessé de le dire qu’il est majoritaire, pourquoi n’a-t-il pas laissé la Commission électorale publier les résultats ? Jean Ping fait comme l’ex- chef d’Etat ivoirien, Laurent Gbagbo. Et cela est su de tous  qu’il veut embraser le Gabon.  Déjà dès son annonce, certains de ses partisans ont pris d’assaut  les rue de Libreville scandant la victoire de leur chef de fil. Une attitude qui a semé la crainte de voir se réunir les ingrédients d’une probable crise post-électorale. D’ailleurs ses partisans sur les réseaux sociaux s’en donnent à cœur joie depuis le dimanche. N’hésitant pas à appeler au soulèvement au cas où  la commission électorale les proclamait vaincu de l’élection du 27 août. Mais Jean Ping n’est pas à son premier forfait. On se souvient qu’il avait difficilement avalé sa défaite face à Dlamini lors de l’élection à la tête de la présidence de la commission de l’union Africaine.
Il prépare le peuple Gabonais à la violence en faisant croire que la France ou la communauté internationale va imposer un candidat. Jean Ping est un danger pour son pays. Il représente un risque pour ce pays paisible depuis l’indépendance.
Il n’en n’est rien car au regard de l’organisation et du processus électorale, Ali Bongo confirme son attitude républicain et démocrate. Le président sortant est légaliste et attend les résultats officiels. Ali Bongo avait annoncé que s’il perdait il n’aurait pas de soucis à féliciter le nouvel élu. Mais avant cela, il faut respecter les étapes du processus électoral. Outre cela, le Gabon et son président viennent de relever le défi d’une organisation parfaite sans incidents majeurs qui puissent entacher à la régularité de l’élection.  En attendant de connaître les résultats officiels, des informations crédibles annoncent que sur 9 provinces, Ali Bongo est en tête dans 5 localités. Une avance qui se creuse au fur et à mesure  que les résultats sont dépouillés et centralisés.  Pour l’heure, après avoir réussi son pari d’organiser une élection apaisée et transparente, Ali Bongo doit faire face au nerf de ses partisans afin que ceux-ci ne  répondent pas aux provocations incessante du camp de Jean Ping.
Même si  la police est déployée et que dans l’ensemble les Gabonais sont soit à leur lieu de travail et d’autres à la maison,  il est bon  que l’armée reste vigilante  afin de maîtriser à temps tout débordement qui pourrait dégénérer.  Déjà, nous apprenons que des tractations sont en cours depuis la fin du scrutin afin que tous les candidats jouent la carte de l’apaisement et appellent leurs partisans et militants à préserver la paix sociale. Il est du devoir de chacun de prendre le dessus sur la violence et de ne pas laisser les extrémistes de tout bord mettre le feu aux poudres.
Henri L.

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Jean Ping se dresse contre le code électoral


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A quoi et contre qui joue le candidat Jean Ping ? Une question sur toutes les lèvres du peuple Gabonais et des observateurs de la vie politique Gabonaise. La question n’est pas fortuite après ce que l’on a pu observer ce dimanche 28  août, au lendemain du scrutin présidentiel. Réunissant ses partisans et des journalistes dans son quartier général, il a annoncé sa victoire contre toute attente, portants ainsi un coup au climat de paix  qui régnait au lendemain de ce scrutin, jugé  démocratique et transparent.
En effet, dès cette annonce, des partisans de Jean Ping se sont  rués dans les rues de la capital,  chantant les louanges de celui qui venait, il y’a quelques instants s’auto proclamé vainqueur des élections du 28 mai. Une situation qui a mis le pays sous haute tension et préparer les esprits à un affrontement et à un refus des résultats issue des urnes  et proclamé par le ministère de l’intérieur  tel que le prévoit le code électoral. Réagissant à cette sortie dont le Gabon aurait pu faire l’économie, les étonnements et la stupéfaction est d’abord venu de l’extérieur.  Les premiers et les plus nombreux  sont les pays comme la Côte d’Ivoire qui ont encore en mémoire les affres de la crise postélectorale dont ils portent encore les stigmates.
« Ah ces intellectuels qui pourrissent la vie de leurs frères africains! Ces Jean Ping qui pullulent sur le continent. Ces intellectuels qui retardent le continent. Et pourtant, ils ont tous reçu de leur pays, de l'Afrique. Comment comprendre qu'avant la proclamation des résultats de l'élection présidentielle prévus pour ce mardi, au Gabon, ce vieillard convoque la presse et annonce sa victoire? L'opposant tient-il à installer la chienlit dans son pays? Il importe de le souligner, nombre de nos intellectuels font honte au continent. Non seulement ils n'apportent rien au développement de leur pays, mais avides du pouvoir, ils contribuent à fragiliser la paix sociale. Il est temps pour la jeunesse africaine de ne pas suivre ces personnes, qui pour s'assurer une retraite dorée, sacrifient les enfants des autres sur l'autel de leur ambition personnelle» a lancé sur sa page un internaute ivoirien. Un post soutenu par plusieurs internautes qui n’ont de cesse interpellé le Gabonais afin de ne pas commettre les mêmes erreurs qui ont entraîné officiellement 3000 morts et des centaines de milliers d’exilés en Côte d’Ivoire.
« JEAN PING viole la loi et crée la zizanie » selon un autre internaute qui a repris des pans important de sa déclaration. «  Je suis l'élu.  Au moment où je m'exprime devant vous, les tendances générales nous donnent vainqueurs »  ajoutant que l’ex président de la commission de l’union Africaine aurait dû attendre les résultats officiels avant de s’exprimer. Le faisant, il ouvre la porte à plusieurs incertitudes et crée la psychose au sein de la population. Une psychose gonflée de plus en plus par des rumeurs que ses partisans distillent tant dans les grandes villes qu’en campagne.
«Quand on a perdu les élections et qu’on veut apprêter les esprits à ne pas accepter sa défaite, on se presse  de se déclarer vainqueur » explique un observateur électoral sous le couvert de l’anonymat. Selon ce dernier, l’opinion nationale Gabonaise et la communauté internationale doit tenir pour responsable Jean Ping en cas de dégradation de la situation sécuritaire. «  Il vient de jeter les bases d’une crise postélectorale tout en mettant à mal tout le système électoral et en jetant l’opprobre sur ses qualités d’ex président de la commission de l’Union Africaine » ajoute-t-il  avant de préciser que l’Afrique encore moins des petits pays comme le Gabon ne mérite pas ce genre d’hommes politiques. Pour ce dernier, il faut tirer les leçons des élections Ivoiriennes, Sénégalaise, Burkinabé, Togolaise, Béninoise et ghanéenne qui se sont déroulé récemment.

Patrick K.

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Élection apaisée et transparente, victoire d’Ali Bongo


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L’un des défis majeur de cette élection du 27 août qui a déchaîné tant de passion, était la sécurité et la transparence. Président sortant et candidat à sa succession, Ali Bongo en avait fait son cheval de bataille afin que le Gabon soit cité parmi les pays les plus démocratiques en Afrique. Un pays où l’on peut organiser des élections sans « heurts, ni fraude ».  La  journée du samedi c’est passée dans le calme, dans la sérénité et dans la quiétude. Pourtant, cette élection aura mobilisé un peu plus de 1000 observateurs indépendants qui ont commencé a donné leur satisfaction.
C’est le cas par exemple de Guy René Mombo Lembomba, président de l’Association jeune sans frontières (AJSF), une de ces organisations ayant déployé en partenariat avec d’autres ONG plus 300 observateurs sur le terrain  à travers le territoire national. Leur verdict est sans appel et réconforte le peuple Gabonais. Ils jugent crédible et transparente l'élection présidentielle du 27 août  nonobstant quelques dysfonctionnement constatés. Quoi de plus normale, quand on sait que la perfection n’est pas de ce monde. « Les dysfonctionnements constatés n’ont pas entamé la crédibilité du scrutin. En conséquence que l’élection du 27 août 2016 fût juste, libre et transparente »  a indiqué   Guy René Mombo Lembomba, chef de mission d’observation de cette coalition des ONG gabonaises.
C’est pourquoi, l’AJSF  a tenu à se féliciter et à féliciter le peuple le peuple Gabonais  de même que les  organisateurs du scrutin  pour le déroulement de l’élection dans le calme et la sérénité sur toute l’étendue du territoire durant toute la journée du vote. Bien entendu, cette mission a relevé quelques incidents qui auraient pu tourner au pugilat. En effet,  selon Guy René Mombo Lembomba des incidents  à certains endroits  peuvent être qualifiés par des atteintes à l’intégrité physique de certains citoyens accusés, sans preuve tangibles  de certaines infractions  telles que des tentatives de double vote, ou de vote illégal pour des raisons liées à leurs nationalités d’origines étrangères. Ces observateurs ont aussi noté  la persistance du phénomène d’ouverture tardive inexpliquée de plusieurs bureaux de vote et la sérieuse confusion créée dans plusieurs centres de vote par les cartes d’identité donnant droit au vote.
Mais dans l’ensemble, tous ces incidents n’entache en rien la crédibilité du scrutin ont-ils reconnu. Il appartient désormais aux différents candidats de respecter le code électoral  et de maintenir leur partisans afin de garder le calme qui prévaut. C’est à juste titre que donnant à nouveau le bel exemple et le bon ton, le président-candidat, Ali Bongo a indiqué attendre « dans le calme et la sérénité le verdict des urnes. » malheureusement, son challenger Jean Ping n’a pas été habité par cette sagesse et a  décidé de jouer les troubles fêtes  mettant ainsi gravement à mal la paix sociale et quiétude des Gabonais qui, après avoir voté étaient tournés vers le ministère de l’intérieur, seul  habilité à donner les résultats issus des urnes.  Et ceux, malgré les précisions du ministre de l’Intérieur  sur le fonctionnement du processus électoral, «une infographie officielle détaillant point par point les différentes étapes de ce vote uninominal à un tour. Les mesures technologiques et procédurales mises en œuvre lors de cette élection sont inédites et sans précédent en Afrique, tous les éléments sont réunis en vue de garantir un scrutin transparent et impartial.» a affirmé le ministre  Pacôme Moubelet Boubeya. Malheureusement, cet appel semble ne pas avoir été entendu par Jean Ping et ses partisans. Il est temps que la sagesse les habité avant qu’il ne soit trop tard.

Roland F.
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Peut-on parler de fraude avec 1000 observateurs ?


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Les bureaux de vote à peine fermés, que les observateurs  ont commencé à donner les résultats de leurs travaux. "Le vote s'est déroulé dans le calme. Aucun incident majeur n'a été signalé", s'est félicité le secrétaire général du ministère, Lambert Noël Mata en début de soirée du samedi 28 août. Les quelques  628.124 électeurs, sur une population totale de 1,8 million d'habitants ont répondu dans le calme et la discipline telle que l’a souhaité Ali Bongo, qui a mis à la disposition de de la Commission électorale nationale autonome et permanente (CENAP), tous les moyens humains et matériels nécessaire afin d’y parvenir.
Ainsi,  l’Union africaine et  l’Union européenne sont formelles sur leurs observations. Les élections se sont bien déroulées dans l’ensemble même si l’on a pu observer quelques retards et des échauffourées par endroit, cela ne remet nullement en cause la sincérité et la transparence du vote. Ce 27 août 2016, c’est donc une véritable machine électorale jamais vue qui  s’est mise en marche au Gabon. Mettant leur conclusions en rapport avec les  représentations diplomatiques du Gabon, notamment la France, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et ceux qui sont dans les provinces, ils ont affirmé que tout s’est bien passé passe bien.»
Ces structures de même que d’autres  avaient  o déployé des observateurs dans la quasi-totalité des centres de vote du Gabon tout en observant un engouement de la part des populations. Ce qui est un très bon signe pour le Gabon et  pour les Gabonais.
La sécurité déployée a ainsi permis au Gabonais  de se déplacer  en grand nombre mais sans se bousculer devant les urnes même avec l’ouverture tardive de certains bureaux de vote. Un retard qui n’a rien entaché cette mobilisation car les Gabonais sont conscients de l’enjeu. Depuis  le lancement de la campagne électorale, les Gabonais avaient envie de s’exprimer dans les urnes.  Ils ont ainsi fait des files  d’attente. Même  si certains montraient  des signes de fatigue, ils sont restés déterminés.
C’est pourquoi, cette mobilisation ne doit pas être mise à mal par  certains politiciens qui, en perte de vitesse sont aussitôt devenu fébrile. C’est le cas de Jean Ping qui depuis la fin des bureaux de vote a lancé ses partisans dans l’intox  via Facebook et Twitter. Un comportement indigne d’un ancien président de la commission de l’Union  Africaine qui pourtant maîtrise bien le calendrier et la procédure électorale. Mais, comme le prédisait certains observateurs de la vie politique du Gabon, Jean Ping « n’aime pas la défaite et les risque d’embrassements du Gabon risque de  venir de lui. » est-il es train de  donner raison à ces derniers ?  En tout cas ça dernières sortie et celle de ses partisans est de nature  à ne pas prouver le contraire de ce qui a été longtemps dit.
A contrario, le favori des élections, après avoir gagné le pari d’organiser des élections ouvertes, libres et transparentes a décidé de respecter la  commission électorale et d’attendre patiemment le verdict. Une véritable attitude républicaine empreint de sagesse  et digne de l’homme d’état qu’il est. Jean Ping gagnerait à suivre cet exemple afin de garantir et de préserver la paix sociale  au Gabon, longtemps resté dans la paix.
Paul M.
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La mauvaise influence des réseaux sociaux sur le climat de paix au Gabon

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Dès la fermeture des bureaux de vote, les populations qui voulaient soustraire un tant soit peu des programmes de télévisions ont été littéralement happés par les réseaux sociaux. L’on a ainsi assisté à un matraquage tous azimuts  faisant planer des doutes sur les lendemains paisibles au Gabon. Chacun allant de son commentaire, véhiculant mensonges et rumeurs à bon escients.
Sur les réseaux sociaux, Facebook est pris d’assaut et on y poste régulièrement des tendances émanant des différents bureaux de vote disséminés à travers le pays, mais aussi ceux de l’étranger. Ces informations sont également relayées via les appels, SMS, et autres applications de messagerie. Une situation qui ajoutait encore plus à la confusion et à la peur des populations, tant ces résultats divergeaient d’un internaute à un autre. Des tendances  qui nourrissent encore ce matin les espoirs de victoire de militants et partisans de certains candidats ; et dont les porte-paroles et états-majors tirent la couverture de leur côté respectif.
Cependant, au cours de la journée du dimanche, une baisse significative du débit de navigation a été constatée. Il n’en fallait pas plus pour que la toile s’enflamme et véhicule des informations selon lesquelles, l’accès aux réseaux sociaux a été restreint. Une situation qui a obligé le directeur général de Gabon Telecom, Abderrahim Koumaa a présenté dimanche en fin de soirée dans un communiqué de presse les excuses à ses centaines de mille d’abonnés, privés pendant plus d’une heure de l’internet. « Gabon Telecom informe son aimable clientèle, qu’un incident technique a causé une interruption involontaire de ses services internet pendant 45 minutes en début de soirée, ce dimanche 28 août 2016. Tout en présentant ses excuses pour les désagréments causés à sa clientèle, Gabon Télécom assure tout mettre en œuvre pour garantir la bonne continuité de ses services internet », a-t-il soutenu dans ce communiqué.
Depuis lors tout semble rentré dans l’ordre et les partisans de Facebook tant au sein de la diaspora qu’au niveau de la population s’en donne à cœur joie. Reprenant ainsi les intoxications de tout genre et parfois entraînant des insultes entre partisans ou entre les différents camps. Une situation qui crée une atmosphère de méfiance  de chaque Gabonais vis-à-vis de l’autre qui n’est pas du même bord que lui. On le sait, les réseaux sociaux jouent d’important rôle dans le processus démocratique mais leur usage abusif surtout en des périodes sensibles comme la période électorale et post-électoral peut à tout moment dégénérer et être fatal pour la paix et la cohésion sociale.
En attendant les résultats officiels de la Commission électorale nationale autonome et permanente (Cenap) chacun y va pour l’instant de son commentaire même les plus inimaginables.  Pourtant, la Cenap  a officiellement dit être la seule habilitée à donner le nom du vainqueur du scrutin présidentiel du 27 août dernier, qui devrait intervenir  ce mardi autour de 17 h .Il y’a lieu de demander aux internautes et aux populations de ne pas tenir compte tendances et autres résultats véhiculés via les réseaux sociaux.
Publié par Unknown à 16:09 Aucun commentaire:
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Gabon : Mieux vaut attendre les résultats dans le calme et la patience


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Pas de  couvre-feu, pas d’interruption des communications téléphoniques ou d’Internet, comme l’ont propagé les rumeurs de la rue et des réseaux sociaux.  Et ceux, Malgré les dénégations  du gouvernement qui revendique son souci de transparence dans la gestion de la présidentielle du samedi 27 août au. Des forces de sécurité ont  à juste titre bien été déployées dans Libreville, la capitale, mais en nombre raisonnable, sur les grands axes et devant les bâtiments publics de la ville. Une précaution très utile qui va prévaloir jusqu’à la proclamation des résultats  car, pour qui s’en souvient, la dernière présidentielle, en 2009, s’était terminée par des manifestations violentes et meurtrières, principalement à Port-Gentil, la capitale économique.  Ce souvenir  qui hante encore une bonne partie de la population a surgi  depuis dimanche à Libreville  et dans certaines villes du pays  qui ont, depuis lors, des airs de ville morte où les taxis constituent l’essentiel de la circulation routière. Comme la veille, la quasi-totalité des commerces et restaurants avaient tiré leur rideau de fer.
Pour l’heure,  aucun incident violent n ' a été enregistré ou signaler même si le souvenir de 2009 et les propos va-t-en-guerre de certains militants ont convaincu la population de Libreville de rester chez elle.  Car malheureusement plusieurs personnes ont décidé de jouer les pyromanes. Ainsi, dans un  communiqué sanctionnant la réunion de son Conseil exécutif, le parti de Moukagni Iwangou affirme que Jean Ping devance ses concurrents sur l’ensemble du pays. Cette affirmation serait fondée sur le dépouillement des trois quarts des résultats du scrutin centralisés par ce parti. L’UPG a  ainsi adressé ses vives félicitations au président élu qu’il considère être Jean Ping tout en lui présentant ses vœux de réussite dans la conduite de la mission que vient de lui confier la Nation.
Le parti a également félicité ses militants et le peuple Gabonais pour le civisme dont ils ont fait preuve le jour du scrutin dans toutes les circonscriptions électorales du pays. Affirmant se référer aux chiffres issus des dépouillements des bureaux de vote au Gabon et à l’extérieur du pays, Augustin Moussavou King a dit  lui aussi reconnaître le verdict des urnes qui donnerait l’ancien président de la Commission de l’union africain vainqueur du scrutin du 27 août dernier. «Il me plaît de reconnaître la victoire de monsieur Jean Ping et de le féliciter pour son succès à cette élection capitale», a-t-il déclaré aux micros des confrères des télévisions privées TV+ et de la Radiotélévision Nazareth (RTN). De quoi jeter le doute au sein de la population.
Pour le promoteur du «plan Marshall», seul le choix de la rupture, exprimé par le peuple, lors de ce scrutin doit primer et être respecté par les institutions en charge de l’organisation des élections. «Je voudrais interpeller les instances de la Commission électorale nationale autonome et permanente et la Cour constitutionnelle pour que celles-ci reconnaissent le verdict des urnes pour que le Gabon connaisse la paix durable», a-t-il conclu. Une interpellation aussi farfelue que saugrenue qui a tendance à jeter, en plus du doute au sein de la population,  faire planer un doute sur la sincérité du scrutin qui pourtant a vu un millier d’observateurs  qui indique tous que le scrutin s’est bien déroulé   même si il y’a eu quelques impairs notamment des retards dans l’ouverture de certains bureaux de vote.
Maurice K.
Publié par Unknown à 16:04 Aucun commentaire:
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Présidentielle 2016: les dernières tendances



 

Les dernières tendances des résultats de l’élection présidentielle du 27 août dernier, viennent de tomber! Et le candidat sortant Ali Bongo Ondimba est en tête avec 49% des suffrages exprimés. En effet, de sources sûres, non seulement le candidat-président aurait remporté la bataille électorale sur cinq (5) des neuf (9) provinces que compte le pays, mais il aurait également fait de bon score dans les provinces de l’Estuaire et de l’Ogooué-Maritime. Il comptabilise 49% des voix, contre 42% pour son rival de l’opposition Jean Ping, tandis que les autres candidats se partagent les 9% des voix restantes. Ali Bongo Ondimba est donc réélu président de la République Gabonaise!
Publié par Unknown à 13:42 Aucun commentaire:
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Calme plat au Gabon : Jean Ping a-t-il réussi à semer la peur chez les Gabonais ?

Calme plat au Gabon : Jean Ping a-t-il réussi à semer la peur chez les Gabonais ?
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L’élection présidentielle, de l’avis de tous les observateurs  s’est bien déroulée dans l’ensemble et il y a lieu de féliciter les Gabonais qui ont fait preuve de retenue, de patiente pour le bon déroulement de tout le scrutin.  C’est une victoire pour tous et c’est une preuve des avancées démocratiques que l’histoire retiendra.
Avec cette belle organisation, le vainqueur de cette élection présidentielle, et tous ses partisans, auraient tort de se montrer arrogants et rancunier. Cela serait trahir l’espoir de ce changement tant souhaité par tous les Gabonaises et les Gabonais.
Malheureusement, après les discours de Jean Ping et de ces partisans, Libreville s’est réveillée ce 29 août dans un calme plat, notamment dans les quartiers et marchés populaires.
Les échos bruyants  des hélicoptères qui survolent  la ville et sûrement le pays laissent percevoir clairement que les forces de l’ordre, visible à plusieurs endroits de la ville, veille au grain  afin de parer à toute éventualité Dans les rues, la circulation de véhicules comme celle de personnes est moins intense. Même constat au niveau des commerces, où quelques irréductibles ont osé braver cette psychose post-électorale. Au grand bonheur des riverains de ces quartiers, dont certains sortent de leurs domiciles pour faire des emplettes, si possible, et également, pour tâter la température extérieure.
Cette situation est dû au fait qu’un bon nombre de militants et sympathisants  de Jean Ping, ont, hier dimanche, rallier l'École publique Martine Oulabou sur l’avenue Jean-Paul II où l’équipe de campagne de Jean Ping avait annoncé pour 14 h, une «importante communication». La rencontre n’a pas pu avoir lieu, les accès à cette artère de Libreville ayant été fermés et protégés par un dispositif des forces de l’ordre beaucoup lourd que d’habitude. La rencontre a été déplacée au quartier Bas de Gué-Gué, dans le premier arrondissement de Libreville, aux abords d’une propriété de Jean Ping. Là également, sur la voie express, un dispositif des forces de l’ordre a été déployé, composé notamment de véhicules blindés munis de lances à eau. Malgré la petite pluie qui s’est abattue sur Libreville en milieu d’après-midi, les «militants et sympathisants du changement»  ont quelques peu troublé l’ordre et la quiétude des populations.
Sur les chaînes de télévision publiques, les populations attendent patiemment et dans le calme la proclamation des résultats.
Pourtant, toutes les dispositions en vue d’assurer la sécurité avant, pendant et après le scrutin et même après la proclamation des résultats. Mais malgré toutes les dispositions sécuritaires, le comportement irresponsable de certains politiques ont entraîné la peur au ventre des Gabonais. Mais les Gabonais ne doivent pas céder à la peur et à la panique. Ils doivent être rassurés. La crainte de voir ce qui s’est passé en Côte d’Ivoire  se passer au Gabon doit quitter les esprits car le Gabon n’est pas la Côte d’Ivoire et vice versa.

Didier B.
Publié par Unknown à 10:41 Aucun commentaire:
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Gabon : Jean Ping le candidat de la Françafrique



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        La déclaration du parti socialiste français en faveur du candidat à l’élection présidentielle au Gabon, Jean Ping, nous rappelle les heures sombres de la FrançAfrique. C’est est clair : Jean Ping est le candidat de la FrançAfrique pour le pillage du Gabon. Si non, comment expliquer que ce grand parti de la grande démocratie française puisse s’illustrer dans un acte d’ingérence aussi grossier ?
56 ans d’indépendance plus tard… toujours une colonie ?
Moins d’une journée après le scrutin présidentiel, alors que le dépouillement commence à peine, Jean Ping décide de ne pas tenir compte de la loi gabonaise et du processus électoral. Tout confiant, et méprisant les institutions gabonaises, il organise une conférence de presse pour se déclarer vainqueur incontesté des élections. Mais d’où lui vient donc cette assurance ?  
La réponse ne se fait pas attendre longtemps. Du côté de l’hexagone et par la voix du parti socialiste, Jean Ping est félicité. L’ancien colon vient d’adouber publiquement son candidat au mépris du droit international, qui consacre la souveraineté de chaque Etat.
A moins de considérer le Gabon comme une colonie française, la seule explication logique est l’activation des réseaux FrançAfrique pour influencer le scrutin en faveur de Ping. D’ailleurs, bien avant les élections, la FrançAfrique e était déjà à l’œuvre par la plume de Pierre Péan et la voix de Robert Bourgi.
Pierre Péan et Robert Bourgi : leaders de l’opposition gabonaise
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Robert Bourgi, héritier de la FrançAfrique et fils spirituel de Foccart, dit ouvertement soutien Ping et affirme que ce dernier gagnera grâce à lui. Que doit-on comprendre ?
En 2009, Lors du décès de Bongo père, il n’a pas attendu que l’Etat gabonais annonce la mort de son président. Il l’a faite annoncé par la presse française pour se positionner en tant qu’acteur incontournable de la succession à venir.

Il a ensuite soutenu Ali Bongo, pensant poursuivre avec lui l’œuvre de la FrançAfrique. N’ayant eu gain de cause, il décide de le déstabiliser. Son ami Pierre Péan entre en scène.
Pendant près de deux ans l’argument phare, repris en chœur par les opposants gabonais, contre le président Ali Bongo était qu’il n’est pas le fils de son père. La provenance de cet argument ? Un livre de Pierre Péan, les Nouvelles affaires africaines.  

L’article 10 devient ainsi le plus célèbre de la constitution gabonaise. Et le livre de Pierre Péan fini par figurer parmi les « preuves » avancées par l’opposition pour démontrer qu’Ali Bongo n’est pas le fils biologique de feu Omar Bongo  Ondimba.
Aujourd’hui, à l’heure où les résultats du scrutin présidentiel se font attendre,  il ne faudrait pas que l’opinion gabonaise se fasse abuser et manipuler par cette FrançAfrique vacillante et aux abois dont Jean Ping est le représentant. Le Gabon est un pays libre et indépendant et en aucun cas n’acceptera de perdre sa liberté et son indépendance pour des intérêts  particuliers.    
                                                                             
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Gabon : L’intox des faux comptes pro-ping sur les réseaux sociaux



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A peine une poignée de bureaux de vote avaient-ils baissé le rideau samedi 27 Août en fin de journée que les réseaux sociaux ont été envahis par une série de faux comptes pro-ping déclarant le candidat vainqueur de ces élections. Une vraie guérilla de l’intox menée avec tous les outils de la panoplie : communiqués, coups de fil, courriels, sms, réseaux sociaux, applications.

Ce qui nous interpelle le plus : où ont été prises ces images et vidéos?
De quoi s’agit-il : procès-verbaux ? Images de tableaux noirs ? Vidéos de dépouillement ?

Tous ces éléments nous paraîtraient recevables s’ils n’étaient pas le fruit d’une maigre sélection… soit 100 bureaux de vote sur 2580 où le candidat Jean Ping a battu le Président Candidat. Une sélection faite à partir de bureaux de vote de la diaspora gabonaise et plus particulièrement de bureaux situés en France.

A titre  de rappel, la diaspora gabonaise en Europe représente uniquement 3561 inscrits. A elle seule elle ne représente même pas un quartier de Libreville.

Parlons maintenant des images de procès-verbaux donnant Ping comme vainqueur dans la commune d’Akanda. Mais comment résumer la commune d’Akanda à un seul arrondissement ? Pourquoi ne pas nous montrer les procès-verbaux du 1er arrondissement où les populations de Malibé, Kouboukoubou et du Cap Estérias ont soutenu massivement le Candidat sortant ?
Ces images circulent en boucle sur les réseaux sociaux et visent à faire croire aux gabonais que Jean Ping est le grand gagnant de cette élection. Mais il est important de vous rappeler qu’à date rien n’est joué.

L’élection ne se gagne pas qu’à Libreville mais surtout en provinces. S’il est difficile de nier que le Candidat Ping remporte l’Ogooué-Maritime et le Moyen-Ogooué, le Candidat Président quant à lui raflé à lui tout seul 5 provinces haut les mains. Il s’agit bien entendue du Haut-Ogooué (80.000 inscrits soit 10.000 de plus que l’Ogooué-Maritime), l’Ogooué-Lolo province dont est originaire le Secrétaire Général du Parti Démocratique Gabonais, l’Ogooué-Ivindo, la Nyanga et la Ngounié représentant globalement plus de 210.000 inscrits soit près de 1/3 de l'Électorat.

Tout le monde s’entend à dire que cette élection est serrée et que les gabonais sont assoiffés de changement. Deux tendances dessinent. Les jeunes pro-Ping, très actifs sur les réseaux sociaux mais peu inscrits sur les listes électorales, d’une violence inouïe mais peu étonnante et la tranche d’âge des 35-65 ans majoritairement inscrits dont beaucoup votent en province t profondément décidés à faire confiance au Candidat sortant qui depuis 7 ans a profondément remodelé le visage des provinces.  

Ashley Ndong
Publié par Unknown à 09:15 Aucun commentaire:
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Élections présidentielles au Gabon : PING cherche désespérément l’onction de la France



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Libreville 29 août 2016 Donné perdant dans plusieurs régions du pays, Jean PING cherche désespérément à mettre la France de son côté pour faire tomber Ali BONGO qui fonce tout droit vers sa réélection.

De sources concordantes, Jean Ping a été aperçu hier à 16h50, entrain de faire son entrée à l'ambassade de France juste après sa déclaration génocidaire devant la presse.

Tel un chien errant, Jean PING court vers la France pour quémander son soutien devant la bataille électorale qui l’oppose à son adversaire BONGO.

La Françafrique resurgit

Par un tel comportement, Jean PING veut ramener le Gabon dans le vieux schéma de la Françafrique, une pratique qui a fait tant de mal aux pays africains et dont le Président Ali BONGO ONDIMBA a mis fin lors de son mandat. Là où il paraît important de chercher le soutien de ses compatriotes, Jean PING fait appel à l'étranger. C’est tout simplement déplorable pour un individu qui veut gouverner un état souverain et indépendant.

Ashley N’DONG

Publié par Unknown à 08:37 Aucun commentaire:
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Élections présidentielles au Gabon : Pour verser le sang des Gabonais, PING s’auto-proclame vainqueur


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Libreville 29 août 2016 Hier dimanche après-midi, au lendemain de l’élection présidentielle au Gabon, le principal adversaire du Président sortant Ali Bongo Ondimba, Jean Ping, s’est proclamé « vainqueur », tandis que le premier cité dit attendre « sereinement » les résultats.
Dans une déclaration faite devant la presse à Libreville, Jean Ping dont l’objectif principal est de plonger le pays dans le chaos total dit s’être basé sur des chiffres collectés par l’opposition, à travers les procès-verbaux rassemblés dans 20 postes de saisie connectés à un système central, via un réseau satellite, afin de transmettre les chiffres au quartier général (QG) de Libreville, ce qui est archi-faux. PING continue dans sa logique de destitution du pays en racontant des mensonges aux populations.

Au moment où les résultats finaux sont en cours de récupération par la CENAP [Commission Électorale Nationale et Permanente] qui a  prévu par ailleurs faire une déclaration le 30 août (demain mardi)  à 17 heures, Jean PING s’est dit vainqueur et a appelé ses partisans à se rassembler dans le centre de la capitale.  

« Je suis l’élu », a déclaré Ping. « Au moment où je m’exprime devant vous, les tendances générales nous donnent vainqueurs », a-t-il ajouté, depuis son QG, remerciant ceux qui ont porté leurs suffrages en faveur de l’alternance et du changement. De tels propos digne d’un génocidaire ont plongé le peuple gabonais dans une peur noire craignant de vivre à leur tour la crise post-électorale ivoirienne avec deux personnalités se proclamant Président de la République.

Par ailleurs, suite à cette déclaration suicidaire , à Libreville ou à Port-Gentil, la deuxième ville du pays de nombreux habitants ont perdu leur sérénité. Plusieurs commerçants ont préféré fermer boutique, la circulation est fluide. Les Gabonais craignent de nouvelles violences, comme ce fut le cas lors de la dernière.

Ashley Ndong
Publié par Unknown à 06:43 Aucun commentaire:
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