Le hacker ivoirien Yéo capturé par les services gabonais est passé à table.
Organisation de la cellule anti Ali Bongo
- Mamadou Diané, ivoirien, conseiller spécial du président ivoirien
- Franck Ping, ivoire-gabonais, responsable finances en Côte d’Ivoire
- Jean François Ping, responsable financier Gabon
- Carl Mihindou, gabonais responsable logistique et technique
- Jean-Marc Zoé, ivoirien, chef de la coordination ivoiro-gabonaise
- Yeo Namogoh, ivoirien, chargé du recueil des renseignements électoraux
- Ange Bagui, ivoirien, informaticien, spécialiste de téléphonie mobile
– Igor, congolais, administrateur des comptes d’accès
- Gildas, ivoirien, chargé du Design
- Alain Jauriste, Pambou, gabonais correspondant technique
Rappels des faits :
Le 20 février 2016, réunion à Paris entre Jean-Marc Zoé, Jean François et Franck Ping pour le montage de l’opération anti Ali Bongo
D’Avril à Aout, des voyages entre Abidjan et Libreville pour des formations discrètes, des tests informatiques à partir de l’Hôtel Hisbiscus
La chaîne :
Saisie des données par Yéo Namogoh depuis le territoire gabonais
Transmission des données par satellite vers le France
Traitement des données par Jean Marc Zoe depuis Abidjan
Jean-marc Zoe rendait compte au conseiller spécial du président ivoirien, Mamadou Diané
La faille du système
Yéo avoue que lors de la proclamation de victoire de Ping le 28 Août, ce dernier ne disposait que de 15 % des bureaux de vote, de plus sans confirmation avec les PV physiques
Le 1er septembre 2016, lors de son arrestation, Yeo affirme avoir entré les données de seulement 1500 sur plus de 2500
Conclusion :
Jean Ping s’est proclamé président sur la base de d’une partie seulement des bureaux de vote ou sur une partie des résultats
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