mardi 13 septembre 2016

Gabon : Jean Ping ou la pratique de la terre brûlée


Pour qui se souvient des grands moments de guerre en Afrique, a sûrement en mémoire la technique de la terre brûlée. Celle qui consistait à tout brûler sur son passage. Alors que nous pensions que cette technique était longtemps derrière nous, le monde entier en général et particulièrement le Gabon en  a fait l'amère expérience en ce troisième millénaire. Et l’auteur n’est autre que le candidat malheureux de la dernière élection présidentielle. En effet, après avoir tenté en vain de mettre ses partisans dans les rues afin de revendiquer une victoire qu’il n’a jamais obtenue,  Jean Ping et ses partisans s’en sont violemment pris au symbole de l’état. La première victime fut une de taille.
Un symbole où s’exprime la voix du peuple. En effet, l’Assemblée nationale du Gabon à Libreville a été incendiée en début du mois d’août par des manifestants descendus dans la rue, répondant à un appel insurrectionnel   par l’un des candidats Malheureux en l’occurrence Jean Ping.  A y voir de près, ce symbole n’a pas été mis à feu par hasard. Située sur le prestigieux boulevard Triomphal, qui dessert de grandes institutions (siège de la télévision d’Etat Gabon Télévision, Sénat, Hôtel de Ville, Centre culturel français, ministère du Pétrole, ambassades de Chine, de Russie et du Liban...).  Cela montre bien que Ping et ses partisans étaient disposés à mettre le pays à feu et à sang ce jour-là, n’eut été la dextérité des forces de l’ordre présente.
Pourtant, cette institution n’a nullement pris part au scrutin et n’intervient nullement dans le processus électoral. Pourquoi alors avoir incendié cet édifice ?  Muet aux appels du président sortant et réélu à sa propre succession, Jean Ping a opté pour la violence avant de se ressaisir et emboîter le chemin de la sagesse. Alors la question qui circule sur toute les lèvres est la suivante « tout ça pour quoi ? Fallait-il incendié avant de suivre la voie légale et constitutionnelle ? Ping avait-il besoin de  compter des morts avant de recourir au conseil constitutionnel ? Seul lui et les quelques membres proches peuvent répondre à ces interrogations du citoyen lambda. Mais une chose est sûre, Ping comme nous le savons tous est un mauvais perdant. Son ambition était de mettre le pays dans un chaos afin d’empêcher les institutions légales  et impliquées dans les élections de prononcer le verdict des urnes et au conseil constitutionnel de se prononcer. Mal lui en a pris. Il a pensé qu’avec le soutien de ces amis de l’extérieur, il réussirait son coup d’état. Ce n’est un secret pour personne au Gabon que Ping a fait appel à de nombreux mercenaires tant parmi les pays européens que africains. Il a été mal conseillé ou du moins il a mal monté son coup.
Aucune personne censée ne peut incendier un bâtiment public  et venir ensuite se référer à d’autres institutions de la nation pour réclamer quoi que soit. En agissant ainsi, c’est une partie de sa politique que Ping a dévoilé si jamais il avait été élu par le peuple Gabonais. En effet l’incendie du parlement démontre que Ping avait bien l’intention de détruire ou de fouler au pied toutes les bonnes règles de gouvernance une fois au pouvoir. Pire, il s’apprêtait à détruire les fondements de la nation. Le choix du parlement n’est donc pas fortuit.
Heureusement pour le Gabon, les forces de sécurité s’étaient déployées à titre préventif dès mardi après-midi aux points stratégiques de la capitale à la veille de la proclamation des résultats officiels provisoires par la commission électorale. C’est pourquoi, dès l’annonce de la victoire d'Ali Bongo Ondimba face à l’opposant Jean Ping, des troubles ont éclaté sur les grandes artères entre les forces de l’ordre et des opposants.

Gabon : Pourquoi brûlé avant d’emprunter la voie légale

Les règles des élections sont simples. Mais elles ont besoin d’être rappelées à certains hommes politique en Afrique notamment  aux apprentis politique de la classe de Jean Ping  et de sa bande de pilleurs et casseurs. Car l’on ne peut se dire démocrate, fouler toutes ses règles au pied quand on perd une élection et venir par la suite distraire le peuple en allant saisir le conseil constitutionnel. Ce, après avoir mis le pays à feu et à sang.
En effet, tout électeur a le droit de demander l’annulation des opérations électorales de son bureau de vote. De même que tout candidat, tout parti politique ou tout groupement de partis politiques qui a présenté une liste de candidatures, a le droit de demander l’annulation, soit par lui-même, soit par son représentant, des opérations électorales de la circonscription où il a posé sa candidature. (Loi N° 10/98 du 10 juillet 1998).  Comment comprendre qu’un candidat de la taille de jean Ping puisse ignorer cette règle élémentaire portant sur le contentieux électorale ? C’est absurde. L’incendie du parlement cache bien un autre agenda de Ping.
Sinon, tous les candidats savent que selon l’article 121  du code électoral, la Cour constitutionnelle est seule compétente pour statuer sur les réclamations afférentes aux élections présidentielles, législatives sénatoriales et référendaires. Elle juge en premier et dernier ressort. La réclamation doit être déposée au greffe de la juridiction compétente concernée, sous peine d’irrecevabilité, au plus tard le quinzième jour suivant la publication des résultats annoncés par le Gouverneur pour les élections des collectivités locales, ou la proclamation des résultats par la Cour constitutionnelle en ce qui concerne les autres élections politiques. Toutefois, en cas de force majeur dûment justifié par la commission électorale locale, la juridiction compétente saisie peut relever le requérant de la forclusion.
Voilà qui est claire pour tous sauf pour ceux qui viennent aux élections avec un autre agenda. Celui de Jean Ping était clair. En cas d’échec, déstabiliser le pays. Pour y arriver, aucun moyen n’a été négligé. Mieux Ping a mis les bouchés doubles. D’abord avec des cybers activistes  et ensuite avec des militaires venus d’autres pays afin de créer la chienlit. Mais avant,  pour que les militaires entre en scène, il fallait créer le chaos.
C’est ainsi que Jean Ping a lancé ses partisans dans les rues au lendemain de la proclamation des résultats.  Ils avaient une mission bien claire. Incendier tous les bâtiments publics afin de semer le chaos. Une fois cet objectif atteint,  la branche militaire devrait profiter du désordre ainsi créé et entrer en action. Des treillis de l’armée régulière ayant été distribués à ces derniers  afin de semer la pagaille au sein des forces de défenses et de sécurités Gabonaise. Tout était bien ficeler avant les élections. Malheureusement,  ce plan a foiré et alors jean Ping s’est retrouvé face à la triste réalité.
Voici en réalité le vrai  plan qu’il avait pris des jours et des nuits à  monter. Ayant épuisé les cartes de cette forfaiture, il s’est résolu contre son gré à saisir le conseil constitutionnel. Mais derrière cette saisine se cache une autre démarche. Juste faire croire qu’il est légaliste et se donner du temps de desserrer la pression sur ces proches afin de  réviser  leur plan macabre visant à déstabiliser  le Gabon.

mardi 6 septembre 2016

COMMENT LE SYSTÈME PING A FONCTIONNÉ


Le  hacker ivoirien Yéo capturé par les services gabonais est passé à table.

Organisation de la cellule anti Ali Bongo

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- Mamadou Diané, ivoirien, conseiller spécial du président ivoirien
- Franck Ping, ivoire-gabonais, responsable finances en Côte d’Ivoire
- Jean François Ping, responsable financier Gabon
- Carl Mihindou, gabonais responsable logistique et technique
- Jean-Marc Zoé, ivoirien, chef de la coordination ivoiro-gabonaise
- Yeo Namogoh, ivoirien, chargé du recueil des renseignements électoraux
- Ange Bagui, ivoirien, informaticien, spécialiste de téléphonie mobile
– Igor, congolais, administrateur des comptes d’accès
- Gildas, ivoirien, chargé du Design
- Alain Jauriste, Pambou, gabonais correspondant technique

Rappels des faits :
Le 20 février 2016, réunion à Paris entre Jean-Marc Zoé, Jean François et Franck Ping pour le montage de l’opération anti Ali Bongo
D’Avril à Aout, des voyages entre Abidjan et Libreville pour des formations discrètes, des tests informatiques à partir de l’Hôtel Hisbiscus


La chaîne :

infographie-techn-ping.jpg

Saisie des données par Yéo Namogoh depuis le territoire gabonais
Transmission des données par satellite vers le France
Traitement des données par Jean Marc Zoe depuis Abidjan
Jean-marc Zoe rendait compte au conseiller spécial du président ivoirien, Mamadou Diané

La faille du système
Yéo avoue que lors de la proclamation de victoire de Ping le 28 Août, ce dernier ne disposait que de 15 % des bureaux de vote, de plus sans confirmation avec les PV physiques

Le 1er septembre 2016, lors de son arrestation, Yeo affirme avoir entré les données de seulement  1500 sur plus de 2500

Conclusion :
Jean Ping s’est proclamé président sur la base de d’une partie seulement des bureaux de vote ou sur une partie des résultats

Urgent: Le nouveau complot des milices aux ordres de Jean Ping et Bertrand Zibi



Pour inviter les autorités françaises à faire une intervention militaire  comme prévu dans leurs différents scénario pour l'installer au pouvoir comme en Côte d' Ivoire, les milices de Ping sous le commandement de Zibi Bertrand s'apprêtent à frapper de nouveau.

Ainsi, après avoir donc incendié l'assemblée nationale, brûlé des domiciles privés, des mosquées et pillé des magasins ils envisagent s'attaquer aux écoles françaises, à l'institut français et tout autre intérêt français au Gabon .
Cette stratégie pouvant aller jusqu'au kidnapping de ressortissants français pour justifier l'intervention des Néo colonialistes dans notre pays.

Notre pays se retrouverait donc dans une situation désastreuse comme Benghazi en Lybie afin que le peuple se retrouve dans la misère et voit ses richesses exploitées  sous le prétexte de la reconstruction.

Merci de rester tous vigilants et de dénoncer aux forces de défense et de sécurité toute action suspecte.

Il nous faut défendre notre patrie contre les assauts des mendiants Pierre Péan, Robert Bourgi &Co de la "France à Fric".

lundi 5 septembre 2016

QUE VEUT LA FRANCE AU GABON ?




Qu'est-ce que j’entends? La France demande à ce que l'on publie les résultats du scrutin bureau de vote par bureau de vote, un recomptage des voix en quelque sorte. Elle s'est exprimée via son chef de la diplomatie Jean Marc Ayrault, autant dire que c'est sa position officielle, en cela, elle ne dit pas autre chose que ce que dit le ripou Xavier Noc, quand nous savons d'ailleurs que c'est son rapport tronqué, orienté qui a motivé cette déclaration de la France. Mais que pouvait-elle faire d'autre quand son envoyé sur le terrain lui fait remonter de fausses informations?
Les choses ne pourront aller plus loin, car la loi électorale gabonaise ne permet pas une publication par bureau de vote, c'est sans doute pour cela qu'elle a demandé que les recours institutionnels soient utilisés pour contester cette élection.




LA MISSION DE L’UNION EUROPÉENNE COMPROMISE



Ils ont commencé à mettre à exécution leur plan macabre, Jean-Ping et sa clique ont lâché leurs chiens sur le Gabon, pour casser du gabonais.
Ces pseudos démocrates qui n'acceptent pas le verdict des urnes ont actionné leurs relais diplomatiques pour cautionner la chienlit qu'ils sèment dans le pays.
L'un d'entre eux est Xavier Noc, chef de mission de l'union européenne pour la présidentielle, a été pris dès son arrivée au Gabon sous les ailes de Ping et affiliés, il était même jusqu'à très récemment établi chez l'un d'eux qui l'hébergeait dans sa résidence cossue de Libreville.
C'est de là qu'a été échafaudée toute cette stratégie macabre que nous voyons se déployer.
Ce chef de mission a reçu de l'argent pour discréditer la victoire de ABO, c'est lui qui est à l'origine de cette demande farfelue de recomptage des voix, c'est aussi lui qui a intrigué pour que des membres de l'opposition démissionnent de la CENAP.
Il est prêt à tout pour de l'argent, ses rapports ne sont pas impartiaux, au contraire ils sont volontairement tronqué parce que achetés, Xavier Noc est un vendu, il s'est vendu à la bande à Ping, il importe que nous ne laissions pas berner pour l'accompagner dans sa forfaiture.

MAUVAIS PERDANT



Grand est ma peine de voir, de constater que mes appréhensions quant à l'après scrutin présidentiel sont en train de se vérifier.
J'attirais l'attention du peuple gabonais sur la nature vile de l'attelage PING, N'ZOUMA et OYE MBA, je levais le voile sur la collusion entre Jean-Ping et certaines puissances la Chine pour ne pas la citer, je dénonçais les tractations occultes qui s'opéraient sur le dos de notre Gabon.
N'avais-je pas alerté la conscience publique de l'intention malveillante du candidat Jean-Ping de recourir à ses relations dans le monde diplomatique pour faire valider les funestes projets  qu'il nourrissait pour le Gabon au cas où il perdrait cette élection?
Les faits hélas viennent de me donner raison, comment un chef de mission d'une organisation internationale censé émettre un avis sur la tenue d'un scrutin peut-il élire domicile chez l'un des protagonistes de cette élection?
Xavier Noc puisque c'est de lui qu'il s'agit (chef de la mission d'observation de l'union européenne pour le scrutin du 27 Août au Gabon) était jusqu'à hier seulement 1er Septembre 2016 hébergé chez Chantal Myboto et Paul Marie Gondjout, qui est un des soutiens indéfectibles du candidat Jean-Ping.
Noc Xavier a reçu de ce dernier la coquette somme de 400.000 euros, afin de produire un rapport visant à jeter le discrédit sur les résultats de l'élection présidentielle, cette somme en plus de la promesse  de grimper dans les échelons de la diplomatie internationale.
Cet homme corrompu est prêt à tout pour accomplir sa mission finale qui est de faire gagner son poulain, Jean-Ping. Il n'en n'est pas à son premier forfait du genre, son implication est avérée dans de nombreux autres cas de corruption où cet analyste électoral monnaie ses rapports de mission d'observation.